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Shibari: cet art japonais du ligotage gagne en popularité

Une pro de cet art et une sexologue nous éclairent sur cette discipline qui n'a pas fini de faire parler d'elle.

Décomplexées par des œuvres telles 50 nuances de Grey, les pratiques BDSM sortent de l'ombre pour s'afficher publiquement. Parmi elles, le shibari, art japonais du ligotage, suscite de plus en plus la curiosité. Qu'on le voie en première partie du spectacle d'Asaf Avidan ou dans des bars fétichistes de Tokyo, il ne laisse assurément pas indifférent.

«À l'origine, le shibari c'était des techniques de nœuds qui étaient faits pour trainer les prisonniers japonais, explique la sexologue Pascale Robitaille. C'est d'abord une forme d'art.»

Un art du ligotage qui a depuis quitté les rives du Japon pour s'établir dans des studios à travers le monde, dont au Québec. À l'aide de cordes de jute, ses adeptes se ligotent, se contraignent et s'élèvent au-dessus du sol avec l'objectif à priori contradictoire de se rapprocher et de s'évader.

Nous avons rencontré une pro de cet art Sammy Bessette ainsi que la sexologue Pascale Robitaille. Elles nous éclairent sur cette discipline qui gagne en popularité - à découvrir dans la vidéo ci-dessus.

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