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En larmes, Laura-Gabriel d'«Occupation Double Bali» révèle les dessous du «métier» d'influenceuse

«Je suis tannée de vivre pour les autres, de devoir me prouver et me justifier tout le temps...»
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Peu importe notre opinion sur le sujet, être influenceur est un travail à temps plein qui implique de considérer la majorité des moments de sa vie comme quelque chose pouvant être potentiellement partagé avec ses milliers d'abonnés Instagram, YouTube, Facebook, etc.

Bien que l'apparente vie glamour qui semble être liée à ces activités puisse en séduire plusieurs, ce n'est pas tout le monde qui a les reins assez solides pour exposer sa personne à la pression médiatique constante et aux commentaires (parfois désobligeants et gratuits) d'illustres inconnus ayant décidé de scruter à la loupe les moindres faits et gestes de ces stars du web.

Dans une vidéo intitulée Il faut qu'on se parle, partagée ce mercredi 11 avril sur sa chaîne YouTube (qui compte près de 95 000 abonnés), Laura-Gabriel, que l'on a pu voir brièvement l'automne dernier dans Occupation Double Bali, a remis en question son mode de vie et tout ce qu'il implique.

«Je suis une personne fondamentalement heureuse. La Laura que vous avez connue dans mes autres vidéos, c'est la vraie [...] C'est pour ça que je trouve ça aussi difficile en ce moment d'aller mal», confie d'emblée la jeune femme. «Pendant trois ans, YouTube, c'est ce qui m'a le plus définie en tant que personne. Et je ne sais pas qui je suis sans ça.»

J'adore faire des vidéos [...] Mais ce qui vient avec, ça me fait trop chier.Laura-Gabriel

«Quand tu es YouTubeur, influenceur, tu as besoin de l'approbation des autres pour avoir du succès. Si les gens ne t'aiment pas, tu n'iras pas bien loin.»

«Je suis tannée de vivre pour les autres, de devoir me prouver aux autres, d'avoir à me justifier tout le temps, que tout le monde se permette d'avoir une opinion sur tout ce que je fais», poursuit la youtubeuse, visiblement exaspérée. «Et je ne peux pas en vouloir à personne, parce que c'est ça, être influenceur.»

Après avoir donné quelques exemples de retours et commentaires avec lesquels elle a dû composer, l'intervention de Laura-Gabriel se termine sur un silence qui en dit long.

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