La meilleure place où vivre pour les milléniaux canadiens est nulle autre que notre capitale nationale, Québec.
Pour les milléniaux, vivre maintenant, c'est expérimenter le meilleur ET le pire.
Le marché de l'emploi n'a jamais été aussi fort dans l'histoire récente, avec un taux de chômage à son plus bas en 41 ans en décembre.
Tout le monde travail, donc.
Mais gagner un chèque de paye ne nous amène pas aussi loin qu'auparavant. L'accessibilité à la propriété au Canada est à son pire depuis environ trois décennies, selon les estimés de la Banque royale du Canada.
Alors que doit faire un milléniaux? Le portail immobilier Point2 Homes a évalué les chiffres et a publié un index pour classer les meilleures et les pires villes du Canada pour cette tranche d'âge, en comparant les 85 plus grandes villes du pays.
Outre l'accessibilité à la propriété, le portail a également tenu compte des revenus, du taux de chômage, du taux de crime, de la qualité de vie, les soins de santé, le climat, l'éducation, et le pourcentage de la population qui est des milléniaux.
Et c'est Québec qui est en tête de liste.
«Non seulement, Québec se classe plus haut en moyenne, le marché immobilier est abordable comparé aux autres villes évaluées», a estimé Point2 Homes sur son blogue.
«Ajoutez à ça que la ville a le troisième plus bas taux de chômage au Canada et un revenu moyen annuel au-dessus de la moyenne, et ça fait du sens pourquoi elle prend le premier rang de notre liste.»
Québec est suivie de Victoria, en Colombie-Britannique, qui souffre du côté de l'accessibilité à la propriété (62e), mais qui compense par son climat et sa qualité de vie.
Le top 5 est complété par Guelph, Halifax et Ottawa.
Pas facile pour les grandes villes
Les plus grandes villes du Canada n'ont pas fait le top 10, mis à part Vancouver (10e). Toronto obtient le 24e rang et Montréal... 38e.
Ce texte initialement publié sur le HuffPost Canada a été traduit et adapté de l'anglais.