Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Giovanni Apollo nie catégoriquement toutes allégations d'inconduites sexuelles

«J'invite toute personne qui alléguerait que j'aurais fait une agression ou un harcèlement sexuel à aller à la police.»
Facebook/Vickie Bouchard Photographe & Infographiste

Radio-Canada révélait hier que sept personnes accusaient Giovanni Apollo de harcèlement sexuel, d'abus de pouvoir et d'intimidation, en plus de lui reprocher d'avoir tenu des propos vulgaires.

Le chef et animateur s'est d'abord défendu en publiant un message sur sa page Facebook.

Je nie formellement toute agression ou harcèlement de type sexuel sur l'une de mes employées ou sur qui que ce soit. Je n'ai jamais posé d'acte à caractère sexuel répréhensible.

«Je reconnais avoir fait des "jokes" de cul et des commentaires de ce type sur des plateaux et auprès de certains collègues. D'ailleurs, je me suis déjà excusé pour un commentaire fait en ondes sur V. Je comprends le caractère inapproprié de ce genre de commentaires et ne les refais pas aujourd'hui.

Je n'accepterais pas que l'on fasse d'amalgame entre les histoires que l'on entend dernièrement et la situation dont fait état ce reportage. Tout rapprochement de ce type serait tendancieux et diffamatoire.»

En entrevue ce matin avec Paul Arcand à l'émission Puisqu'il faut se lever, diffusée sur les ondes du 98,5 FM, Giovanni Apollo a continué de défendre son intégrité en tenant le même discours.

«J'invite toute personne qui alléguerait que j'aurais fait une agression ou un harcèlement sexuel, allez à la police», a déclaré le chef au journaliste Pascal Robidas dans un segment diffusé à l'émission Gravel le matin, diffusée sur les ondes de ICI Radio-Canada Première.

À voir également :

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.