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Elle se tatoue le logo d'une discothèque pour pouvoir y rentrer gratuitement à vie

Une manière originale de ne pas se faire interdire l'entrée.
Capture d'écran issue du journal 20 Minuten
La jeune femme arbore fièrement son nouveau tatouage.
Capture d'écran issue du journal 20 Minuten

C'est bien connu, pour rentrer en boîte de nuit, certains fêtards rivalisent d'inventivité en mettant au point des techniques particulièrement originales. À ce titre, la solution de Nicole Kesselring, une Suissesse de 24 ans, semble dépasser toutes les attentes.

En effet, pour être en mesure de rentrer gratuitement à vie dans une boîte de nuit, le KUGL, situé à Saint-Gall en Suisse, la jeune femme s'est tout simplement fait tatouer l'emblème de l'établissement au niveau du poignet.

Un entretien avec le personnel du club nécessaire avant la réalisation du tatouage

Tout a commencé le 14 août par un challenge lancé par la boîte de nuit (sur la page Facebook officielle du club) à l'occasion de la sortie de son nouveau logo. Le principe était simple: toute personne qui se tatouerait le fameux emblème en question pourrait y entrer gratuitement jusqu'à sa mort.

Interrogée par nos confrères de 20 Minutes, la jeune femme a été rapidement séduite par le défi: "Quand j'ai vu l'appel pour la première fois, j'ai trouvé l'idée marrante. Puis, après réflexion, je me suis dit: 'je vais le faire'."

Après une inscription au challenge, la jeune femme a dû convaincre un jury composé de l'équipe du club, dont le propriétaire des lieux, Daniel Weder. En effet, avant de passer définitivement à l'acte, il était obligatoire de passer "un entretien de motivation" pour exposer ses motivations.

L'examen de la démarche de Nicole Kesselring jugé "concluant" par le personnel de la boîte, elle a donc pu mener à bien son projet. Toujours selon le média helvétique, il a ainsi fallu une heure pour que l'emblème soit encré dans la peau de la clubbeuse.

A noter que l'endroit du tatouage était laissé au libre choix du gagnant du jeu comme l'a assuré au quotidien suisse Blick le gérant de l'établissement: "Le vainqueur peut évidemment décider où est le motif et quelle sera sa taille." Seule prérogative : le tatouage devait être réalisé par l'enseigne spécialisée locale, "Skin Deep Art".

Sur Facebook, certains n'ont pas manqué de marquer leur scepticisme quant à ce tatouage. Peu importe pour la jeune femme. "J'ai tant de souvenirs positifs en lien avec le Kugl", avoue-t-elle, avant de préciser "sortir environ six soirs par mois" au sein de la discothèque.

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

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