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Tentative d'enlèvement à Québec: la plainte était non fondée

Tentative d'enlèvement à Québec: l'adolescente a tout inventé
Radio-Canada

Le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) a terminé son enquête sur la tentative d'enlèvement du 14 mai à Québec et conclut que la plainte n'était pas fondée. L'adolescente de 13 ans a avoué aux enquêteurs qu'il n'y avait finalement pas eu de crime commis.

« Il n'y a pas eu de tentative d'enlèvement, il n'y a pas eu de voies de fait. L'objectif de notre communiqué, c'était de dire qu'on n’est pas à la recherche d'un suspect et qu'il n'y a pas matière à s'inquiéter dans le secteur », indique David Poitras, du SPVQ.

L'enquête avait été ouverte après que l'adolescente de 13 ans eut dénoncé une tentative d'enlèvement le dimanche 14 mai au Café Tudor, situé en bas de l'escalier du Cap-Blanc. Elle prétendait avoir été en mesure de se défendre contre son agresseur avec ses habiletés en taekwondo.

La victime avait aussi rapporté à ce moment avoir été frappée par son agresseur. Rien de tout cela ne se serait finalement produit.

Dans de telles circonstances, des accusations de méfaits publics sont parfois déposées contre les plaignants. Ce ne sera pas le cas cette fois-ci.

« Il y a plusieurs circonstances qui justifient notre décision, dont l'âge de la jeune fille. Par son âge, elle est soumise à la loi sur le système de justice pénale pour les adolescents qui vise, entre autres, à ne pas judiciariser certains crimes et certaines situations », précise David Poitras.

Plus de détails à venir

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