Le premier ministre Philippe Couillard se montre ouvert à discuter de nouveau de l'aide médicale à mourir si l'ensemble des partis politiques à l'Assemblée nationale le souhaitent. Mais il invite à la prudence et à la mesure.
Le débat sur l'aide médicale à mourir a surgi de nouveau dans l'actualité, cette semaine, après le cas très médiatisé d'un homme qui aurait mis fin aux jours de sa conjointe atteinte de la maladie d'Alzheimer et qui avait demandé en vain de l'aide médicale à mourir.
Depuis, plusieurs voix se sont élevées pour demander d'élargir cet accès à l'aide médicale à mourir.
Interrogé vendredi à Montréal, le premier ministre Couillard s'est dit ouvert à débattre de nouveau de la question, si cela fait consensus. Il a rappelé qu'il s'agissait là d'une question délicate, qui a déjà nécessité un compromis lors de l'adoption de la loi.
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