C'est tout comme Uber, mais avec l'intention de créer un environnement sécuritaire pour les femmes. L'application Safr, qui connecte des conductrices et des passagères, est officiellement lancée à Boston.
Pour l'instant, les clientes ne peuvent accéder au service que si elles y sont invitées. Les créatrices de l'application comptent l'ouvrir au public en mars.
Si l'idée semble ingénieuse, elle pourrait bien être illégale. Duane Morris, une avocate spécialisée en droits de la personne, a expliqué au Boston Herald que le service pourrait être jugé discriminatoire. «Il pourrait y avoir des problèmes», a-t-elle ajouté.
La porte-parole de Safr, Joanna Humphrey Flynn, s'est toutefois faite rassurante. «Nous travaillons de très près avec nos conseillers juridiques pour nous assurer que nous respectons les lois», a-t-elle répondu au média bostonien.
Avec l'Associated Press
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