Près de deux semaines après la controverse entourant une activité à caractère sexuel organisée par des étudiants sur le campus de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Radio-Canada a appris que l'établissement en faisait peu pour prévenir la violence à caractère sexuel. Il s'agit d'une situation que l'administration entend maintenant changer.
Le recteur de l'UQO, Denis Harrison, reconnaît que son établissement doit travailler sur la prévention, la sensibilisation et la formation en matière de lutte à la violence à caractère sexuel.
«On pensait qu'on faisait les choses assez bien et on voit qu'il y a quand même des gros trous dans les mailles du filet et il faut s'assurer qu'il n'y en ait plus.» — Denis Harrisson, recteur de l'Université du Québec en Outaouais (UQO)
Selon M. Harrisson, toute la communauté universitaire doit maintenant se mobiliser sur cette question.
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