La police de Vancouver poursuit cette année son projet pilote pour combattre le sextage, soit le fait de partager un message texte au contenu suggestif, chez les jeunes.
Cette fois-ci, les garçons seront davantage ciblés par la campagne de prévention. L'an dernier, l'accent a été mis sur les filles, mais la coordonnatrice des programmes juvéniles de la police de Vancouver a remarqué que les garçons s'étaient aussi montrés ouverts à la discussion.
« Les garçons étaient beaucoup plus ouverts que ce à quoi je m'attendais », s'est souvenue Amy Powter.
Les parents sont également conviés à participer à la discussion au cours d'une autre séance. Ils pourront y apprendre le jargon du sextage, et les meilleures façons d'amorcer la conversation avec l'enfant.
« On ne se fera pas donneurs de leçons, ils ne seront pas mécontents, et nous ferons en sorte de créer une discussion pour que leurs enfants puissent s'ouvrir », a fait savoir Amy Powter.
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