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Les irritants de la toilette masculine

Ce que nous détestons de la toilette masculine
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Handsome young man in sunglasses keeping hands clasped and looking away while sitting on wooden chest against red background
g-stockstudio via Getty Images
Handsome young man in sunglasses keeping hands clasped and looking away while sitting on wooden chest against red background

On entend toujours parler des irritants de la mode et de la beauté féminine. Certaines disent que le soutien-gorge est le vêtement le plus inconfortable jamais créé tandis que d’autres affirment que se maquiller tous les matins est une vraie plaie.

Mais qu’en est-il des gars ? On doit composer avec des jeans trop serrés et des produits de beauté compliqués ; bref nous avons nous aussi des irritants. En collaboration avec Schick Hydro®, nous vous présentons quelques-uns des trucs qui nous irritent au sujet de la toilette et de la mode masculine. Notre combat est très réel.

Pantalons trop serrés

Pourquoi les pantalons d’hommes ont-ils des coupes aussi étranges ? Les jambes sont soit trop larges ou tellement courtes qu’on dirait que vous vous attendez à une inondation. Et ne nous parlez même pas des jeans de papa...

Le carreauté

Une belle chemise carreautée passe encore, mais trop, c’est trop.

Les toilettes trop compliquées

La majorité des hommes n’a rien à faire d’une routine d’entretien de la peau trop compliquée. Un peu de simplicité, s’il vous plaît.

Bas blancs et souliers chics

Quelles sont les règles concernant les bas de sport et les souliers chics ? Certains disent que ça ne se fait pas. Mais au fait, pourquoi y a-t-il tant de règles ? Quelle confusion !

Le polo

On l’entre dans notre pantalon, ou pas ? Là est la question.

Les jeans super skinny

OK, le look est cool, mais le manque de circulation sanguine vers les parties intimes, c’est un vrai problème.

Produits capillaires

Il est vraiment trop facile de commettre un faux pas capillaire, mais à notre décharge, personne n’a encore préparé de tutoriel sur le bon usage du gel ou de la pommade. À l’aide !

La chemise habillée à manches courtes

Pas facile d’avoir l’air cool avec une chemise habillée à manches courtes ; comment il fait, lui ?

Il y a bien des choses qui nous irritent au sujet de la mode et de la toilette masculines, mais Schick Hydro® n’en est pas une. Grâce à son rasoir qui prévient l’irritation et les rougeurs, Schick Hydro® contribuera positivement à votre routine matinale, que vous soyez un lève-tôt ou un oiseau de nuit.

Anastasia Kuba
"J’ai une relation si complexe avec ma carapace que je ne saurais même pas par où commencer. Nous avons survécu aux médicaments dans le ventre de ma mère, six opérations de chirurgie orthopédique, une opération non-consensuelle de réaffectation sexuelle, des interventions de ‘confirmation sexuelle’, des agressions sexuelles, deux troubles de l’alimentation, et plusieurs handicaps permanents liés au contrôle au faciès. Une seule de ces choses pourrait tuer ou anéantir quelqu’un mais mon corps ne se laisse jamais abattre et je suis continuellement stupéfaite des neuf vies qu’il m’a accordées."

- Mason
Anastasia Kuba
"Ma mère m’a fait beaucoup de mal quand j’étais petit (à cause de sa dépression postpartum). Depuis, j’ai une très mauvaise image de mon corps. L’un de mes premiers souvenirs, c’est d’avoir été battu et d’être en larmes parce que ma mère menaçait de me jeter dehors, tout nu.

Quand j’ai atteint l’âge de la puberté, j’avais tellement honte que je me suis mis à détester mon corps. Et plus je le détestais, plus je détestais ma mère. Après tout, c’est elle qui m’avait fait. La seule chose que je pouvais faire, c’était faire comme s’il n’existait pas. J’étais comme le Dr Jekyll et Mr. Hyde, deux facettes incompatibles du même monstre. Mais, dans mon cas, le bon docteur arrivait mieux à réprimer ses pulsions, et le monstre ripostait de la seule manière dont il disposait: en s’autodétruisant. J’ai développé toute une série de handicaps. J’étais dans une impasse, jusqu’au jour où j’ai rencontré Anastasia, qui vous aide tellement à retrouver une image positive de votre corps qu’elle en est insupportable! Elle m’a aidé à me réconcilier avec ces chairs que je traîne et, ces derniers temps, je déteste un peu moins ma mère."

-Jim
Anastasia Kuba
"Je participe à ce projet parce que j’ai envie de m’aimer et je sais que je suis à peu près sur la bonne voie. Pour moi, l’amour-propre est une manière de me sentir à l’aise dans ce paquet de chairs et d’os qui me gêne depuis près de trente ans. Que se passe-t-il quand on s’autorise à se mettre à nu – littéralement –, sans défense, sans maquillage, sans vêtements. Seule devant l’objectif. Je trouvais ça à la fois terrifiant et très excitant, et c’est comme ça que j’ai compris que je devais me prêter à l’exercice. J’adore tirer des leçons de mes expériences. Je me suis dit: 'J’ai fait énormément de progrès. J’aime enfin mon corps. Ce sera l’occasion de l’admirer, et d’avoir des super photos sans faire aucun effort!' Disons que les choses ne se sont pas tout à fait passées comme ça…"

-Daisy
Anastasia Kuba
"Les traumatismes sont intimement liés à mon attirance pour le projet Nothing But Light. J’ai survécu à des violences sexuelles, mais j’ai du mal à savoir ce qui est bon ou non pour mon corps. Le sentiment le plus courant quand j’y fais attention, c’est la honte. Au fil des années, il a appris à se protéger, mais seulement après que mes hanches ont accidentellement permis à des mains de me toucher, après qu’on m’a dit que ce corps ne m’appartenait pas et que d’autres pouvaient en profiter. Ce traumatisme a germé dans mes os, s’est répandu jusqu’à emprisonner ces hanches et ce corps, en me disant que c’était la seule manière d’être à l’abri. Mais aujourd’hui ce corps est le mien, personne ne l’a touché depuis sept ans, et j’ai le droit de m’ouvrir. Nothing But Light m’a permis d’exister et de voir ma peau. Doucement, patiemment, et avec respect."

- Joss
Anastasia Kuba
“Quand la séance s’est terminée, et que nous avons commencé à regarder les clichés, j’ai dit, à propos de la première: 'Celle-là, je l’aime bien. Elle est apaisée.' Anastasia m’a répondu: Toutes tes photos sont apaisées. Tu es quelqu’un d’apaisé.' Parfois, je l’oublie. Il y a tellement de choses qui me travaillent habituellement l’esprit! J’ai une sorte de trouble obsessionnel que l’on qualifie de ‘purement obsessionnel’, et je n’arrête pas de compter dans ma tête. Les syllabes. Les rythmes musicaux. La machine qui tourne silencieusement en moi mesure constamment tout ce qui peut l’être. La peur et la colère qui envahissent régulièrement mon cerveau à cause du syndrome du stress post-traumatique rendent ce corps particulièrement inhospitalier. J’étais en colère contre énormément de choses depuis près d’un an, et puis je suis tombée malade et j’ai dû faire une pause pour prendre soin de moi."

-Isobel
Anastasia Kuba
"1) Tu es une fille. 2) Pour être aimée et survivre en tant que fille, tu dois être belle. 3) Mais en fait t’es moche. Il ne te reste plus qu’à faire semblant. Et c’est ce que j’ai fait, avec toute l’énergie du désespoir. Faire semblant d’être une jolie fille, puis une femme sexy. Trente-quatre ans que ça dure, et je déteste toujours autant ça. Au lieu de correspondre à un idéal dont mon corps ne serait jamais à la hauteur. Parfois, j’arrivais si bien à donner l’illusion que j’oubliais pendant quelques heures à quel point j’avais l’air à la fois féminine et si peu féminine. Et puis quelqu’un me prenait en photo et je me souvenais que, selon les critères que l’on m’avait enseignés quand j’étais enfant, je ne méritais pas d’être aimée. Et, pour ne rien arranger, j’étais en outre terriblement gênée. Ce qui explique pourquoi la meilleure manière de me déprimer est de me prendre en photo parce que j’étais censée être jolie, et de me forcer à regarder le résultat. Peu importe où je suis, que je sois entourée de gens qui m’aiment, peu importe ce que je fais, les photos de moi me consternent. Le mot ‘selfie’ m’emplit de terreur!"

-Carson
Anastasia Kuba
"Je l’ai fait pour deux raisons: 1. Je suis la première à dire que j’ai un super cul, que je suis vaniteuse, que je suis très fière de mon corps noir. Etre noire et vaniteuse, c’est révolutionnaire!

2. J’espère que d’autres Noires s’identifieront à mes photos. Je veux qu’elles sachent qu’elles sont belles, elles aussi."

-Taylor
Anastasia Kuba
"Quand nous regardions les photos, Anastasia m’ parlé du fait qu’elle remarquait qu’il y avait toujours un moment où le modèle redevient un enfant. Nous avons trouvé les photos qui montraient ce moment. Il y en avait aussi sur lesquelles on voyait le poids des années sur mon visage et la fatigue que mon cœur tentait de surmonter, même si je ne sais pas si d’autres le verraient. C’était tout aussi charmant. Comme un bébé apeuré que je tente d’aimer et de rassurer de mon mieux."

-Neil
Anastasia Kuba
"Je savais que ce ne serait pas une séance de photos chics. Mais l’une des choses qui m’attiraient, c’était le défi de montrer ma féminité une fois qu’il n’y a plus de maquillage, de rembourrage, une fois que l’on est nu. Pourtant, en regardant les photos, la seule chose que je remarquais, c’était que j’avais une coupe horrible (ils avaient frisé le matin-même et je n’avais pas eu le temps de m’en occuper), que sans le fond de teint ma peau était rouge et couverte de taches, que j’avais une poitrine d’homme obèse plutôt que des seins, que mon ventre était énorme. J’avais l’air grosse, moche… et bien trop masculine."

-Joie
Anastasia Kuba
"J’ai toujours fait une distinction entre mon corps et moi depuis que je suis toute petite, pour garder un semblant d’équilibre affectif et physique. Quand j’étais enfant, j’ai été agressée sexuellement, couverte d’insultes, rejetée à cause de la couleur de ma peau, par des adultes et d’autres enfants, et par une personne qui s’occupait de moi. Mon corps a encaissé tout cela, sans que personne ne se préoccupe de mon état d’esprit, de la façon dont je vivais les choses. Ca a été une source d’humiliation au tribunal quand j’étais petite. J’ai trouvé la lumière, et j’ai été obligée de séparer le mental et le physique. Toujours davantage. Je suis née avec des malformations liées aux toxines que respirait ma mère quand elle ramassait des tomates dans la San Joaquin Valley quand elle était enceinte de moi. J’ai subi plusieurs opérations quand j’étais petite, pour réparer ma colonne vertébrale et mon bassin. Je suis née avec un spina bifida partiel, à cause des pesticides. Victime de mon environnement? J’ai attrapé l’hépatite C pendant une de ces interventions chirurgicales parce que j’avais besoin d’une transfusion, ce qui a entraîné un cancer du foie."

-Wendy

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