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Suzuki a aussi menti sur sa consommation de carburant

Suzuki a aussi menti
The Suzuki Motor Corp. logo sits on the steering wheel of the company's new Solio Bandit vehicle during the unveiling in Tokyo, Japan, on Wednesday, Aug. 26, 2015. Toshihiro Suzuki, 56, became president on June 30, concentrating on executing strategy set by the board, which will be headed by Osamu Suzuki, 85, who stays on as chairman and chief executive officer. Photographer: Akio Kon/Bloomberg via Getty Images
Bloomberg via Getty Images
The Suzuki Motor Corp. logo sits on the steering wheel of the company's new Solio Bandit vehicle during the unveiling in Tokyo, Japan, on Wednesday, Aug. 26, 2015. Toshihiro Suzuki, 56, became president on June 30, concentrating on executing strategy set by the board, which will be headed by Osamu Suzuki, 85, who stays on as chairman and chief executive officer. Photographer: Akio Kon/Bloomberg via Getty Images

Suzuki a reconnu mercredi avoir recouru à des méthodes trompeuses de mesure de la consommation de carburant de ses véhicules, apportant un nouveau volet à un scandale au Japon qui a déjà emporté Mitsubishi Motors.

Le titre du quatrième constructeur automobile nippon a fini en baisse de 9,37% à 2.613 yens à la Bourse de Tokyo, après avoir cédé en séance jusqu'à 15%, à son plus bas niveau depuis novembre 2013.

Osamu Suzuki, le président du groupe, a prévu une conférence de presse à 16h00 heure locale.

Le constructeur contrôle environ 30% du marché japonais des mini-véhicules, voiturettes d'une puissance de moins de 660cc qui bénéficient d'un régime fiscal avantageux dans le pays.

La consommation des véhicules est surveillée de près depuis que Mitsubishi a révélé le mois dernier avoir falsifié les mesures de certains de ses mini-véhicules.

A la suite de cette affaire, le ministère japonais des Transports a ordonné à tous les constructeurs du pays de lui soumettre d'ici mercredi de nouvelles données sur la consommation de l'ensemble de leurs modèles.

A la suite du scandale, Mitsubishi Motors a cédé un tiers de son capital à Nissan et, selon le journal Nikkei, son président Tetsuro Aikawa va démissionner pour assumer la responsabilité de l'affaire.

L'action Mitsubishi, fortement secouée lors du scandale le mois dernier, a fini à 556 yens à la Bourse de Tokyo, en hausse de 3,93% sur la séance.

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