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Marie-France Bazzo de retour à Radio-Canada

Marie-France Bazzo de retour à Radio-Canada
Courtoisie

Marie-France Bazzo n’aura pas passé beaucoup de temps loin de la grande tour radio-canadienne. Selon le journaliste Mario Girard, de La Presse, l’animatrice et productrice concocte actuellement une série documentaire portant sur les nouveaux arrivants, qui aboutira en premier lieu sur la plateforme Première Plus, et peut-être, ensuite, sur la chaîne principale Radio-Canada Première. Patricia Pleszcznska, directrice générale de la radio de Radio-Canada, a confirmé l’information, sans toutefois révéler d’autres détails.

Il semble donc que les liens n’aient pas été officiellement coupés entre Marie-France Bazzo et Radio-Canada. À presque pareille date l’an dernier, au début avril 2015, celle qui a piloté pendant deux ans (2013-2015) l’émission matinale C’est pas trop tôt, à Radio-Canada Première, et qui succédait ainsi au règne de 15 ans de René Homier-Roy et de C’est bien meilleur le matin, abandonnait son micro pour, avait-on annoncé, se consacrer davantage à ses activités de productrice. Une raison sur laquelle la principale intéressée n’a pas beaucoup élaboré par la suite, mais on peut conclure que les relations entre la femme d’affaires et les dirigeants de Radio-Canada sont demeurées harmonieuses.

L’automne dernier, Alain Gravel s’emparait du siège laissé vacant par Marie-France Bazzo avec une nouvelle tribune, Gravel le matin.

Ce projet de série destinée à Première Plus est également une bonne nouvelle pour Marie-France Bazzo, qui se désolait, en début d’année, de devoir mettre fin à Bazzo.tv, le magazine qu’elle animait et produisait depuis 10 ans à Télé-Québec. La dernière édition de Bazzo.tv a été présentée le 24 mars dernier.

La dame avait précisé, en janvier, avoir d’autres idées dans ses cartons, mais prévoyait bien s’impliquer activement pour que les concepts de la trempe de Bazzo.tv, où débats, réflexions et éditoriaux étaient à l’honneur, puissent continuer de vivre à l’écran, sans être relégués au même rang que les émissions d’interviews-variétés, comme tendent à le préconiser les nouveaux critères du Patrimoine canadien pour l’octroi du crédit d’impôt pour production cinématographique ou magnétoscopique.

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