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L'ambassadeur du Canada à Paris Lawrence Cannon affirme qu'il ne sera pas des prochaines élections fédérales

Lawrence Cannon dit qu'il ne se présentera pas aux élections fédérales
Canadian Foreign Minister Lawrence Cannon speaks at a ministerial meeting on the Comprehensive Nuclear Test Ban Treaty during the 65th session of the United Nations General Assembly at U.N. headquarters Thursday, Sept. 23, 2010. (AP Photo/Jason DeCrow)
ASSOCIATED PRESS
Canadian Foreign Minister Lawrence Cannon speaks at a ministerial meeting on the Comprehensive Nuclear Test Ban Treaty during the 65th session of the United Nations General Assembly at U.N. headquarters Thursday, Sept. 23, 2010. (AP Photo/Jason DeCrow)

L'ambassadeur du Canada à Paris Lawrence Cannon a « formellement démenti » la rumeur voulant qu'il revienne au Québec pour se présenter aux prochaines élections fédérales sous la bannière du Parti conservateur.

Sur son compte Twitter, il a réfuté les informations du journaliste de La Presse Denis Lessard, qui l'avait présenté comme le prochain candidat du parti de Stephen Harper dans la circonscription de Louis-Hébert, à Québec.

Selon les informations de La Presse, si le gouvernement conservateur était réélu, M. Cannon reprendrait ses fonctions de lieutenant québécois du premier ministre.

L'ambassadeur a écrit qu'il était « heureux » de poursuivre son mandat à Paris, un poste qu'il occupe depuis 2012.

De 2008 à 2012, M. Cannon avait assumé les fonctions de ministre des Transports et de ministre des Affaires étrangères au gouvernement conservateur. Il a été emporté par la vague orange aux dernières élections fédérales, en 2011. Il était alors député de Pontiac, dans l'Outaouais.

Louis-Hébert est un comté actuellement détenu par le néo-démocrate Denis Blanchette. Les conservateurs avaient réussi à gagner la circonscription en 2006, avant de la perdre aux élections de 2008.

M. Cannon a été élu député de la circonscription de La Peltrie, à Québec, en 1985, il avait alors défait Pauline Marois, et en en 1989. Il fut ministre des Communications sous le deuxième gouvernement de Robert Bourassa, de 1990 à 1994.

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