Déversements polluants: Québec ferme deux entreprises de Beauceville

Recyclable materials include many kinds of glass, paper, metal, plastic, textiles, and electronics. Although similar in effect, the composting or other reuse of biodegradable waste-such as food or garden waste-is not typically considered recycling. Materials to be recycled are either brought to a collection center or picked up from the curbside, then sorted, cleaned, and reprocessed into new materials bound for manufacturing. Although many government programs are concentrated on recycling at home, a large portion of waste is generated by industry. The focus of many recycling programs done by industry is the cost-effectiveness of recycling. The ubiquitous nature of cardboard packaging makes cardboard a commonly recycled waste product by companies that deal heavily in packaged goods, like retail stores, warehouses, and distributors of goods. Other industries deal in niche or specialized products, depending on the nature of the waste materials that are present.

Le ministère québécois de l'Environnement met fin de façon définitive aux activités de deux entreprises de Beauceville qui ont été trouvées responsables de plusieurs déversements, notamment dans la rivière Chaudière.

Recyc RPM inc. et MV Recyclage de plastique inc. avaient dû cesser temporairement leurs activités en octobre dernier après avoir reçu une ordonnance du ministère de l'Environnement qui leur donnait 30 jours pour récupérer tous les résidus huileux provenant des déversements.

L'ordonnance forçait les deux compagnies à réaliser divers travaux correctifs. Des avis de non-conformité avaient aussi été émis aux deux entreprises fautives.

À une reprise, des résidus huileux se sont retrouvés dans la rivière Chaudière. Lors d'un autre déversement, de 20 000 à 30 000 litres d'eau huileuse étaient sur les terrains des entreprises.

Comme Recyc RPM inc. et MV Recyclage de plastique inc. n'ont pas terminé les travaux demandés, Québec a procédé, en février, à la révocation de leurs certificats d'autorisation.

Par ailleurs, une enquête est toujours en cours pour faire la lumière sur les déversements, en vue de poursuites pénales.