Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Des photos qui montrent la destruction de Kobané, en Syrie, après le retrait de l'État islamique (PHOTOS)

Kobané, ville libérée mais détruite par l'État islamique

Des photos récentes montrent la ville syrienne de Kobané en ruines, après que les Américains et les Kurdes ont mis fin au bain de sang de l'État islamique.

Ce spectacle affligeant démontre clairement l'étendue des dégâts dans la ville stratégique que les jihadistes avaient envahie en septembre dernier.

Kobané, à la frontière turque, est «presque détruite» selon le ministère des Affaires étrangères des Kurdes, Idriss Nassan, qui agissait à titre de porte-parole pour la ville.

Kobané est une ville en ruines

Les édifices sont détruits, les rues sont recouvertes de débris et il n'y a pas d'eau, d'électricité ou de système d'égouts. Même si la ville est officiellement libérée, elle a presque été rayée de la carte.

En septembre 2014, les combattants de l'État islamique ont pris le contrôle d'environ 300 villages kurdes près de Kobané pour ensuite occuper la moitié du territoire de Kobané et envoyant des dizaines de milliers de résidants en Turquie.

Vu la destruction de la ville, les habitants n'y retourneront pas de sitôt.

Plus de 90% de Kobané est maintenant contrôlé par les forces kurdes, selon le US Control Command. La milice veut maintenant libérer les villages avoisinants de l'État islamique.

La guerre est terminée à Kobané, mais le plus difficile est à venir.

Cet article initialement publié sur le Huffington Post UK a été traduit de l’anglais.

BULENT KILIC via Getty Images
Un soldat kurde marche sur les ruines d\'un édifice dans le centre de la ville syrienne de Kobané, aussi connue comme Ain al-Arab, le 28 janvier 2015. Les forces kurdes ont chassé l\'État islamique de leur territoire le 26 janvier, une défaite significative pour les jihadistes qui tentent d\'envahir la Syrie et l\'Irak. Les combats ont fait plus de 1 800 morts depuis la mi-septembre. \n\n
Anadolu Agency via Getty Images
Cette photo montre les ruines d\'un combat dans les rues de Kobané.\n\n
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Une coquille de mortier aperçue au sol dans la ville syrienne de Kobané, aussi connue comme Ain al-Arab, le 28 janvier 2015. Les forces kurdes ont chassé l\'État islamique de leur territoire le 26 janvier, une défaite significative pour les jihadistes qui tentent d\'envahir la Syrie et l\'Irak. Les combats ont fait plus de 1 800 morts depuis la mi-septembre.
BULENT KILIC via Getty Images
Cette photo montre les ruines d\'une attaque dans les rues de Kobané.
BULENT KILIC via Getty Images
Un garçon kurde près d\'un soldat dans la ville syrienne de Kobané, aussi connue comme Ain al-Arab, le 28 janvier 2015. Les forces kurdes ont chassé l\'État islamique de leur territoire le 26 janvier, une défaite significative pour les jihadistes qui tentent d\'envahir la Syrie et l\'Irak. Les combats ont fait plus de 1 800 morts depuis la mi-septembre. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant blessé est assis à côté de l\'endroit où un mortier est atterri à Kobané, le 28 janvier 2015. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Un Kurde est debout dans un immeuble alors que des pigeons volent au-dessus de lui. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde marche avec son fils à Kobané, aussi connue sous le nom d\'Ain al-Arab, le 28 janvier 2015. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Des combattants kurdes tentent de réparer une pièce de machinerie lourde à Kobané, le 28 janvier 2015.\n
BULENT KILIC via Getty Images
Une coquille de mortier est utilisée comme vase pour des fleurs.\n
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde parle au téléphone alors que l\'un de ses camarades marche devant lui. Les forces kurdes ont chassé l\'État islamique de leur territoire le 26 janvier, une défaite significative pour les jihadistes qui tentent d\'envahir la Syrie et l\'Irak. Les combats ont fait plus de 1 800 morts depuis la mi-septembre. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Des combattants kurdes marchent dans les rues de Kobané le 28 janvier 2015.
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde marche sur les ruines d\'un édifice à Kobané, le 28 janvier 2015.
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde ouvre la porte du côté de la frontière turque à Kobané.\n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Des combattants kurdes se parlent dans la ville syrienne de Kobané, aussi connue sous le nom de Ain al-Arab, le 28 janvier 2015. \n\n
BULENT KILIC via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde tient son arme d\'un côté et son chat de l\'autre. \n\n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde sourit alors qu\'il conduit sa voiture au centre de la ville syrienne de Kobané.\n\n
BULENT KILIC via Getty Images
Une conversation entre combattants kurdes à Kobané.
BULENT KILIC via Getty Images
Un combattant kurde marche avec son fils à Kobané, aussi connue sous le nom d\'Ain al-Arab, le 28 janvier 2015.
Anadolu Agency via Getty Images
L\'on peut voir des bâtiments démolis dans la ville de Kobané, après sa libération de l\'État islamique.\n\n
Anadolu Agency via Getty Images
Anadolu Agency via Getty Images
BULENT KILIC via Getty Images
Des combattants kurdes marchent dans les rues de Kobané, le 28 janvier 2015. \n
BULENT KILIC via Getty Images
Anadolu Agency via Getty Images
Des édifices démolis par l\'État islamique à Kobané, le 27 janvier 2015.
Anadolu Agency via Getty Images
Un aperçu des rues de Kobané, après sa libération de l\'État islamique.
Anadolu Agency via Getty Images
Anadolu Agency via Getty Images
Anadolu Agency via Getty Images
Des arbres endommagés de la ville de Kobané, en Syrie, La ville a été libérée de l\'emprise de l\'État islamique le 26 janvier 2015.
Anadolu Agency via Getty Images
Anadolu Agency via Getty Images
Une arme utilisée aperçue à Kobané, en Syrie, après le retrait de l\'État islamique.

INOLTRE SU HUFFPOST

Turkey Syria

Frontière turco-syrienne près de Kobané

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.