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La carrière de Pauline Marois en 10 photos

La carrière de Pauline Marois en 10 photos

Retour sur la carrière de la chef du Parti québécois, Pauline Marois, en 10 événements marquants.

13 AVRIL 1981, ENTRÉE À L'ASSEMBLÉE NATIONALE

Pauline Marois est élue pour la première fois députée dans La Peltrie pour le Parti québécois (PQ). René Lévesque la nomme immédiatement au Conseil des ministres comme responsable de la Condition féminine.

29 SEPTEMBRE 1985, UN PREMIER REVERS POUR LA DIRECTION

Pauline Marois arrive deuxième dans la course à la direction du PQ, loin derrière Pierre-Marc Johnson, qui l'emporte haut la main. Aux élections du 2 décembre, le Parti libéral de Robert Bourassa prend le pouvoir et Pauline Marois est défaite dans La Peltrie. Elle demeure toutefois active au sein de l'exécutif national du PQ. Photo : CP/Ryan Remiorz

25 SEPTEMBRE 1989, MINISTRE TOUS AZIMUTS

Pauline Marois est élue députée de Taillon, alors que les libéraux sont reportés au pouvoir. Elle y sera réélue en 1994, 1998 et 2003. À partir du moment où le PQ reprend les rênes de la province, en 1994, elle assumera, au fil des ans, plusieurs charges ministérielles, dont les Finances, l'Éducation et la Santé. Entre 2001 et 2003, elle sera vice-première ministre. Photo : CP/Jacques Boissinot

23 JANVIER 1997, L'INSTAURATION DES GARDERIES À 5 $

Pauline Marois, alors ministre de l'Éducation, dévoile la nouvelle politique familiale du Québec, qui comprend notamment la mise en place du réseau des centres de la petite enfance à 5 $ par jour, et instaure la maternelle à plein temps pour les enfants de cinq ans. Elle est également responsable de la déconfessionnalisation des commissions scolaires.

26 JUIN 1999, LE DÉBRAYAGE DES INFIRMIÈRES

Alors que Pauline Marois est ministre de la Santé, les 47 500 membres de la Fédération des infirmières et infirmiers du Québec (FIIQ) déclenchent une grève générale illimitée et illégale, afin de protester contre la lenteur des négociations avec le gouvernement. Pauline Marois se montre inflexible. Une loi de retour au travail est votée, mais le conflit s'étire. Les infirmières ne rentreront en poste qu'à la mi-juillet. Photo : CP/Jacques Boissinot

15 NOVEMBRE 2005, ENCORE DEUXIÈME DANS LA COURSE

Pauline Marois arrive deuxième dans la course à la succession de Bernard Landry, avec 30,56 % des voix. C'est André Boisclair qui l'emporte. Photo : CP/Clement Allard

20 MARS 2006, RETRAIT DE LA VIE POLITIQUE

Pauline Marois annonce qu'elle quitte la politique active, sentant le besoin de se ressourcer. « Le coeur n'y est plus, dit-elle. La passion ne m'habite plus pour faire le travail de députée. » Photo : CP/Clement Allard

27 JUIN 2007, LE COURONNEMENT

Pauline Marois est couronnée chef du Parti québécois, à la suite de la démission d'André Boisclair et de la décision de Gilles Duceppe de ne pas se porter candidat. Élue députée de Charlevoix trois mois plus tard, au cours d'une élection partielle, elle fera son entrée à l'Assemblée nationale en tant que première femme chef d'un parti politique au Québec. Photo : CP/Clement Allard

17 AVRIL 2011, CHEF MALGRÉ TOUT

Pauline Marois reçoit un vote de confiance historique de 93,08 % lors du 16e congrès national du Parti québécois. Au cours de l'année qui suivra, le leadership de la chef du PQ sera toutefois mis à rude épreuve avec le départ de plusieurs députés, qui remettent en question ses décisions. Photo : CP/Graham Hughes

4 SEPTEMBRE 2012, PREMIÈRE FEMME À LA TÊTE DU QUÉBEC

Le PQ remporte les élections et Pauline Marois devient la première femme à diriger le gouvernement du Québec. Mais la soirée électorale prend une tournure inattendue lorsqu'un homme tire sur deux techniciens, tuant l'un d'eux, lors du discours de victoire de Pauline Marois. Photo : CP/Paul Chiasson

7 AVRIL 2014, ELLE QUITTE LE PQ

Après 18 mois à la tête du gouvernement du Québec, Pauline Marois déclenche des élections générales. La chef du PQ est toutefois défaite dans sa circonscription de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, derrière la libérale Caroline Simard. Elle annonce alors sa démission à la tête du Parti québécois. Photo : CP/Paul Chiasson

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Rencontre avec Pauline marois

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