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Taser: «les complications fatales sont extrêmement rares»

Taser: «les complications fatales sont extrêmement rares»
FILE-In this Aug. 16, 2007, file photo, Police Chief John Martin demonstrates a Taser in Brattleboro, Vt. Mental health advocates and civil libertarians are calling for a moratorium on police use of stun guns in Vermont following the death of man last week. They want it to last until the effects of the weapons can be investigated further and until police officers get more training in their use and in how to deal with people experiencing mental health crises.(AP Photo/Toby Talbot)
AP
FILE-In this Aug. 16, 2007, file photo, Police Chief John Martin demonstrates a Taser in Brattleboro, Vt. Mental health advocates and civil libertarians are calling for a moratorium on police use of stun guns in Vermont following the death of man last week. They want it to last until the effects of the weapons can be investigated further and until police officers get more training in their use and in how to deal with people experiencing mental health crises.(AP Photo/Toby Talbot)

Une nouvelle étude confirme qu'il n'y a pas de preuve suffisante pour l'instant pour conclure que l'utilisation de pistolets à décharge électrique puisse causer un stress et une arythmie cardiaque mortels chez le suspect atteint par l'impulsion.

Selon le Conseil des académies canadiennes, « les études disponibles donnent à penser que les complications fatales, quoique biologiquement plausibles, sont extrêmement rares ».

L'organisme national a publié son rapport mardi, alors qu'un débat fait rage à Toronto sur la possibilité d'étendre l'usage des pistolets Taser, qui sont réservés actuellement aux superviseurs et aux unités tactiques de la police.

En août dernier, l'Ontario a permis aux corps policiers de la province d'équiper tous leurs agents d'un pistolet à impulsions s'ils le voulaient, mais à leurs frais.

Autres facteurs

Plus de 9000 policiers canadiens sont munis actuellement d'un pistolet à impulsions, selon le rapport du Conseil des académies canadiennes, qui indique qu'environ 33 suspects sont morts depuis la fin des années 1990 après avoir été atteints par une décharge.

Mais l'étude souligne que plusieurs facteurs peuvent être en cause dans le cas de décès, comme la consommation de drogue ou d'alcool et une condition médicale préexistante.

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