Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Si l'entourage est fautif, l'athlète le sera, dit l'Agence mondiale antidopage

Agence mondiale antidopage: Si l'entourage est fautif, l'athlète le sera
Acute pain in a neck at the young sportsman. Young sportsman masses a sick neck
Getty
Acute pain in a neck at the young sportsman. Young sportsman masses a sick neck

L'Agence mondiale antidopage veut instaurer un code plus sévère: si l'entourage est fautif, l'athlète le sera aussi. Il entrerait en vigueur en 2015.

Le journal The Independent rapporte mercredi que la proposition du président de l'AMA John Faley prévoit l'instauration d'un code du sport « beaucoup plus efficace », car il viserait également « l'entourage » des sportifs, autrement dit les entraîneurs, les agents et les médecins.

Le code sera présenté au mois de novembre et s'il est ratifié entrera en vigueur en 2015. Il visera par ailleurs les athlètes qui ont eu recours aux services d'entraîneurs et de conseillers reconnus coupables de dopage dans le passé.

« Le recours à une personne ayant été sanctionnée pour dopage constituera pour tout sportif une infraction à la réglementation antidopage », a précisé John Faley.

Le patron de l'AMA affirme vouloir se doter du meilleur arsenal réglementaire pour triompher des pratiques interdites. Il annonce que les tricheurs les plus importants, ceux qui ont recours à des produits comme les hormones de croissance ou les stéroïdes pourront être condamnés à une suspension de quatre années contre deux ans actuellement.

« L'idée est que très peu de personnes peuvent reprendre leur carrière sportive après quatre ans (d'absence) », a-t-il noté.

Retrouvez les articles du HuffPost sur notre page Facebook.

INOLTRE SU HUFFPOST

7 Tours

Les 7 Tours de France gagnés puis retirés à Lance Armstrong

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.