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Un journaliste de Reuters est accusé d'avoir aidé les pirates d'Anonymous : il est suspendu

Journaliste accusé d'avoir aidé les pirates d'Anonymous
An Egyptian youth wears a Guy Fawkes mask, trademark of the anonymous movement and based on a character in the film V for Vendetta, with writing on it reading in Arabic: 'The people are not afraid of the ruler' during a demonstration in Cairo's Tahrir square on January 31, 2013. Rival factions in Egypt condemned the violence which has killed dozens in a week of unrest and pledged support for a national dialogue to resolve the political crisis gripping the country. AFP PHOTO/MOHAMMED ABED (Photo credit should read MOHAMMED ABED/AFP/Getty Images)
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An Egyptian youth wears a Guy Fawkes mask, trademark of the anonymous movement and based on a character in the film V for Vendetta, with writing on it reading in Arabic: 'The people are not afraid of the ruler' during a demonstration in Cairo's Tahrir square on January 31, 2013. Rival factions in Egypt condemned the violence which has killed dozens in a week of unrest and pledged support for a national dialogue to resolve the political crisis gripping the country. AFP PHOTO/MOHAMMED ABED (Photo credit should read MOHAMMED ABED/AFP/Getty Images)

SAN FRANCISCO - Un journaliste de l'agence de presse Reuters a été accusé jeudi d'avoir aidé les pirates du groupe Anonymous à s'en prendre au site Web du quotidien Los Angeles Times.

Matthew Keys est passible de 25 ans de prison et d'une amende de 500 000 $ US s'il est trouvé coupable de toutes les accusations qui pèsent contre lui.

Keys est un ancien employé de la compagnie Tribune, qui est notamment propriétaire du Los Angeles Times. Les autorités américaines affirment qu'il a fourni aux pirates d'Anonymous un mot de passe après avoir été remercié par la station de télévision KTXL, qui appartient elle aussi à Tribune.

Un pirate aurait ensuite utilisé ce mot de passe pour modifier les informations présentées sur la page Internet du Times.

Un porte-parole de Reuters a indiqué que la compagnie avait été informée des allégations dont Keys faisait l'objet, au moment de son embauche en 2012.

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