Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Cybercrime: les voyageurs devraient se méfier sur les réseaux gratuits sans-fil

Les voyageurs devraient se méfier sur les réseaux Wifi
David Anselmi, a Microsoft senior manger of investigations in the company's Digital Crimes Unit, sits in the DCU lab there Wednesday, Sept. 12, 2012, in Redmond, Wash. Documents unsealed Thursday by a federal court in Virginia describe a new front in a legal campaign against cybercrime being waged by Microsoft. The company says evidence shows cybercriminals are now looking for opportunities to inject malicious software and code into counterfeit versions of computer operating systems even before the machines are wrapped in plastic and sold to unsuspecting customers. (AP Photo/Elaine Thompson)
AP
David Anselmi, a Microsoft senior manger of investigations in the company's Digital Crimes Unit, sits in the DCU lab there Wednesday, Sept. 12, 2012, in Redmond, Wash. Documents unsealed Thursday by a federal court in Virginia describe a new front in a legal campaign against cybercrime being waged by Microsoft. The company says evidence shows cybercriminals are now looking for opportunities to inject malicious software and code into counterfeit versions of computer operating systems even before the machines are wrapped in plastic and sold to unsuspecting customers. (AP Photo/Elaine Thompson)

MONTRÉAL - Les voyageurs devraient se méfier des risques liés au cybercrime lorsqu'ils accèdent à des réseaux gratuits sans-fil avec leurs téléphones, tablettes ou ordinateurs, affirme l'entreprise de logiciels de sécurité Symantec.

Les Canadiens voyageant pour la semaine de relâche ou pour la saison estivale ne devraient pas accomplir certains gestes comme faire des transactions bancaires sur les réseaux sans-fil, soutient Lynn Hargrove, de Symantec Canada.

Elle fait valoir qu'il n'y a pas de sécurité «pour la plus grande part sur ces réseaux».

Symantec a évalué que deux Canadiens sur dix activaient leurs comptes bancaires sur des réseaux Wi-Fi gratuits au Canada.

Les jeunes hommes sont les plus à risques pour le cybercrime car ils sont «sans peur» et accèdent des sites web propices à ces délits, dit Lynn Hargrove, directrice des solutions clients à Toronto.

Selon le rapport Norton Cybercrime 2012 de Symantec, les voyageurs à l'étranger sont souvent piégés par l'entremise de leurs appareils mobiles, souvent à l'aide de messages textes.

Et la nature des informations contenues sur un téléphone intelligent — photos, textes, courriels, listes de contacts, informations bancaires — revêt un grand intérêt pour les cybercriminels, souligne Mme Hargrove.

«Ce que les gens ne réalisent pas, c'est que dans plusieurs cas, ils ont plus de renseignements sur ces appareils que sur leur ordinateur à la maison.»

Les usagers de téléphones intelligents devraient à tout le moins avoir un mot de passe pour accéder à leur appareil, affirme Mme Hargrove. Il y a aussi des logiciels de sécurité disponibles pour les téléphones intelligents.

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.