Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.
D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.
Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.
D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.
Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.
En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle... et peut-être au pot de crème glacée!
Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net
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