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Sports extrêmes: le «base jump», ça tue

Le «base jump», ça tue
AFP

Un homme de 51 ans est mort samedi en fin de matinée lors d'un saut en "base jump" alors qu'il s'était élancé d'une falaise située à quelques mètres du sommet de l'Obiou en Isère, a-t-on appris auprès des secours en montagne. La voile du parachute dont était équipée la victime ne s'est pas ouverte pour une raison encore inconnue, a indiqué la CRS Alpes, qui à son arrivée sur le lieu de l'accident n'a pu que constater le décès.

L'homme, qui pratiquait ce sport extrême consistant à sauter d'une falaise, était vêtu d'une "wingsuit", une combinaison en forme d'aile permettant de planer avant l'ouverture du parachute.

Le base-jump est à différencier du parachutisme, notamment en termes de mentalité, si l'on en croit cet extrait de Wikipedia :

"Bien que le base soit techniquement assez proche du parachutisme classique, il faut noter une nette différence de mentalité entre ces deux disciplines, en particulier dans des pays comme la France où les sauts se font surtout en montagne. En effet, le parachutisme classique, dans l'optique de minimiser les risques, a opté pour une politique d'encadrement strict des pratiquants par des moniteurs. En revanche le base laisse une totale autonomie car il n'existe aucune règlementation en la matière et seule importe la responsabilité personnelle des parachutistes. Cela rapproche donc plus le base des sports de montagne".

  • Retrouvez ci-dessous photos et vidéos de base-jump
:
Base-jump à Berlin

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