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Bombes fumigènes dans le métro : trois accusées libérées

Bombes fumigènes dans le métro : trois accusées libérées
SPVM

Trois des quatre étudiants accusés d'avoir lancé des bombes fumigènes dans le métro de Montréal le 10 mai dernier ont été remis en liberté vendredi, après avoir accepté de se soumettre à une série de conditions.

Les trois jeunes femmes, Roxanne Bélisle, Vanessa L'Écuyer et Geneviève Vaillancourt ont dû déposer 3000 $ en guise de cautionnement et s'engager par écrit pour un montant supplémentaire de 7000 $.

Il leur est interdit de se trouver à moins de 300 mètres d'une station de métro. Il leur est également interdit de se trouver à moins de 300 mètres d'une institution scolaire à moins qu'elles n'y soient inscrites.

Par ailleurs, les trois accusées ne pourront pas participer à une manifestation sauf si celle-ci est paisible. Elles devront respecter un couvre-feu entre 21 h et 6 h du matin et se rapporter aux policiers aux deux semaines.

Les trois jeunes femmes s'étaient rendues aux autorités, en compagnie d'un quatrième suspect François Vivier Gagnon, au lendemain des événements qui ont paralysé le métro pendant plus de deux heures le 10 mai dernier.

Des accusations de complot, de méfait et d'avoir commis un geste laissant craindre un acte terroriste ont été portées contre les quatre suspects.

Le quatrième accusé dans cette affaire est toujours détenu et il reviendra en cour mercredi prochain pour savoir si le tribunal acceptera de le remettre en liberté.

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