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medecine

J’ai peur de la COVID-19, j’ai peur de la deuxième vague… mais par-dessus tout, j’ai peur de nous.
Peut-on un jour aspirer à ce que les personnes grosses soient traitées comme les autres?
Les grands rassemblements pourraient-ils contribuer à une deuxième vague dans l'épidémie de COVID-19? Ce que l'on sait de Sars-Cov2 permet d'éclairer cette question, sans apporter de réponse définitive.
Des chercheurs ont isolé un anticorps du lama qui pourrait grandement contribuer à la lutte contre la maladie.
Même si nous pratiquons la distanciation sociale chacun chez soi, il est temps d'avoir cette conversation que la plupart d'entre nous avons évitée - ou que nous ne savions même pas que nous devions avoir.
«La réalité des études en médecine et du travail de médecin est bien différente d’un pays à l’autre. (...) Mais une chose nous unit tous: ce désir d’aider, d’aider sans discrimination.»
Comme l'expliquent ces soignants au HuffPost France, l'engouement autour du traitement défendu par le professeur Didier Raoult entraîne des effets pervers dans les hôpitaux et sur la recherche.
«Cette semaine, un patient que je devais intuber m’a regardée et m’a dit: “Docteure, est-ce que je vais me réveiller?”»
J’ai anticipé toutes sortes de dilemmes éthiques lors de ma formation en médecine, et j’en ai vécu en pratique. Mais je n’aurais jamais pu imaginer une situation dans laquelle, à grande échelle, je devrais me demander si la meilleure chose pour mes patients serait de ne pas me voir.
Ce médicament, traitement potentiel face au nouveau coronavirus, est prometteur, mais les études actuelles sont loin d'être assez abouties pour encourager son utilisation.