La commission Charbonneau, la réflexion de Gérald Tremblay, la maladie de Gilles Vaillancourt, les cônes oranges sont autant de nuages noirs sur la ville.
Ils assombrissent notre humeur de Montréalais et nous empêchent d'apercevoir les rayons de soleil qui, pourtant, veulent traverser cette grisaille.
C'est sûr, tout occupés que nous sommes à rager contre la corruption et la congestion, nous ne sommes pas intellectuellement disponibles pour les bonnes nouvelles. Lorsque l'abcès sera crevé, que la nouvelle loi 1 aura fait le tri entre les bons entrepreneurs et les autres, que des élections auront donné à Montréal et à Laval une relève politique toute neuve, nous serons plus réceptifs.
Ceux qui veulent prendre un peu d'avance sur ce mouvement de balancier doivent tout de même savoir deux ou trois choses.