Au moment où vous lisez ces lignes, une cinquantaine d'invitations sont en train d'arriver chez des membres de la société civile: organisations de citoyens, syndicales, d'entreprises, chez des chercheurs, des journalistes spécialisés. des élus du gouvernement et de l'opposition. Ils sont invités par mon collègue des Finances Nicolas Marceau et moi-même à un exercice de transparence.
Au cours des prochaines semaines, la négociation visant un accord de libre-échange dit de « nouvelle génération » entre le Canada et l'Europe pourrait arriver à destination. Fortement initié par l'ex Premier ministre Jean Charest, l'accord a été négocié depuis deux ans dans une relative opacité, soulevant craintes et grincements de la part de plusieurs, y compris de l'opposition péquiste.
Ouvrir les fenêtres
Nicolas et moi estimons qu'à cette étape essentielle du processus, il faut ouvrir quelques fenêtres et quelques portes, impliquer davantage les acteurs principaux de la société québécoise dans l'élaboration d'un accord qui pourrait avoir des conséquences importantes -- positives mais potentiellement négatives si on n'y prend garde -- sur notre avenir collectif.
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