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Mon père et la politique internationale

Il faut le dire: le Québec a une image de marque dans les pays de la Francophonie. Sur 50 ans, l'engagement, l'énergie, le professionnalisme des artisans québécois ont construit une réelle réputation de probité et d'efficacité. Mais nous ne sommes pas une grande puissance. Nous n'avons pas les muscles des États-Unis ou de la France.
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Courtoisie

« Il va régler ça, lui ! »

C'était, immanquablement, le commentaire de mon père Jean-Claude, lorsqu'on voyait à la télé un ministre canadien ou québécois se rendre dans un endroit troublé de la planète. Vous ai-je dit que mon père maniait l'ironie ?

Il avait raison, papa, de douter de la capacité de nos élus. Et c'est avec son sain scepticisme en tête que j'ai abordé, avec la première ministre, notre réel impact sur des événements qui nous dépassent.

Il faut le dire: le Québec a une image de marque dans les pays de la Francophonie. Sur 50 ans, l'engagement, l'énergie, le professionnalisme des artisans québécois ont construit une réelle réputation de probité et d'efficacité.

Mais nous ne sommes pas une grande puissance. Nous n'avons pas les muscles des États-Unis ou de la France. Notre intervention, dans le cas, en l'espèce, de la confiscation de la démocratie congolaise par le régime Kabila, n'a qu'un poids relatif. Comment en user au mieux ?

Lisez la suite de ce billet sur le blogue de Jean-François Lisée.

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