Stephen Harper estime que morceler le Royaume-Uni ne serait pas dans l'intérêt général, pas plus que cela n'avantagerait les citoyens à travers le pays.
Le premier ministre canadien s'est prononcé mercredi sur le référendum à venir en Écosse lors d'une séance de questions et de réponses devant un parterre de gens d'affaires.
De récents sondages en Grande-Bretagne démontrent que les appuis aux camps du Oui et du Non sont pratiquement au coude à coude, avec un peu plus de deux semaines avant le vote du 18 septembre.
Le fossé entre les deux camps se rétrécit depuis le mois dernier, 42 pour cent des gens se prononçant en faveur de l'indépendance, tandis que 48 pour cent y sont opposés, selon un coup de sonde réalisé par The Telegraph.
M. Harper a par la suite énuméré une série de problèmes mondiaux - du terrorisme au commerce, en passant par l'Ebola et les changements climatiques - et s'est interrogé à savoir de quelle façon ces défis seraient plus surmontables au sein d'un pays séparé en deux.
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