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Hillary Clinton dit préfèrer travailler de chez elle...

Hillary Clinton dit préfèrer travailler de chez elle...

Hillary Clinton, intérrogée sur ses ambitions présidentielles lors d'une émission humoristique américaine, a une nouvelle fois savamment évité d'y répondre, tout en suggèrant qu'elle préférait travailler de chez elle.

L'ancienne secrétaire d'Etat n'a pas offert à Jon Stewart le scoop de sa candidature pour la présidence américaine en 2016 que le journaliste avait pourtant annoncé au début de son émission extrêmement populaire "The Daily Show".

"J'étais sur le point de faire une annonce mais vous m'avez coupé l'herbe sous le pied", a-t-elle plaisanté dès le début de l'émission mardi soir. "Je n'ai plus qu'à trouver maintenant un autre endroit pour la faire".

Elle s'est prêtée ensuite à un "Questionnaire d'aptitude" où le journaliste a tenté de lui tendre d'autres pièges pour déterminer "si elle avait au moins vraiment envie de faire ce boulot".

Première question adressée à l'ancienne Première dame: "Préferez-vous prendre les transports en commun ou travailler de chez vous?"

"J'ai passé tellement d'années à me déplacer que je crois que je préfère le bureau à domicile", a-t-elle répondu.

"Avez-vous une préférence particulière sur la forme de votre bureau? Préferez-vous une pièce avec des coins ou sans coins?", a encore questionné Jon Stewart en faisant allusion au Bureau Ovale de la Maison Blanche où travaille le président américain.

"Je pense que le monde est assez compliqué comme ça et que donc moins il y a de coins, mieux c'est", a-t-elle répliqué dans l'hilarité générale du public.

Interrogée pour savoir si elle préférait "être dans les bouchons ou les causer", Mme Clinton a répondu combien elle avait horreur de déranger les automobilistes de Washington contraints de s'arrêter de nombreuses fois lors des passages de convois officiels. Elle a même confié parfois "s'être planquée" dans le fond de sa voiture pour échapper aux regards extérieurs.

Enfin, le journaliste lui a demandé si elle aimait "la critique constante" que doit endurer tout locataire de la Maison Blanche. "Aimer n'est pas vraiment le bon terme. "Plutôt s'y attendre, survivre et vivre avec", a-t-elle répondu dans un large sourire. "Ca fait partie du lot".

sg-rap/lb

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