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Grâce à l'Indonésie, une mine d'Amos pourrait se positionner sur le marché mondial du nickel

Grâce à l'Indonésie, une mine d'Amos pourrait se positionner sur le marché mondial du nickel

Royal Nickel veut se positionner sur le marché mondial du nickel.

Après l'annonce par l'Indonésie, principale exportatrice du nickel, qu'elle interdira l'exportation de minerais bruts, la minière espère combler une partie de la demande mondiale avec son projet Dumont, à Launay et Trécesson.

La décision des autorités indonésiennes d'interdire les exportations de minerais bruts, surtout le nickel et le bauxite, fait souffler un vent d'optimisme dans l'esprit des dirigeants de Royal Nickel. En conférence téléphonique avec des investisseurs et des analystes du marché, ils n'ont pas manqué de le souligner.

Pierre-Philippe Dupont, directeur du développement durable à Royal Nickel, explique en quoi le retrait de l'Indonésie du marché du nickel est avantageux pour l'industrie de chez nous.

« En ce moment, le projet Dumont, c'est un des seuls qui est très avancé dans son développement, qui devrait rentrer en production en 2016 et qui devrait combler ce manque à gagner là », explique le directeur du développement durable à Royal Nickel, Pierre-Philippe Dupont. Il détaille ici son analyse de la situation.