La Cour suprême américaine a estimé mardi que le groupe automobile allemand Daimler n'était pas responsable devant la loi américaine de violations des droits de l'homme qui auraient été commises par sa filiale Mercedes en Argentine pendant la dictature (1976-1983).
La haute Cour s'est rangée du côté de l'entreprise allemande dans la plainte de 22 ex-employés de Mercedes-Benz en Argentine qui invoquaient des lois américaines pour obtenir réparation auprès du constructeur automobile. "Daimler n'est pas responsable devant la loi", a estimé la Cour suprême dans son arrêt.
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