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Une heure sans lumière pour la Terre

Une heure sans lumière pour la Terre

De Moscou à Phnom Penh, en passant par New York et Montréal, les lumières d'édifices et de monuments de milliers de villes partout dans le monde ont été éteintes pendant une heure samedi soir dans un geste symbolique pour l'environnement.

L'événement international « Une heure pour la Terre » était de retour en ce 23 mars pour une sixième année.

À 20h30, heure locale, le port de Sydney, en Australie, a été plongé dans le noir, donnant le coup d'envoi de l'événement. Les lumières éclairant l'Empire State Building à New York, la Tour Eiffel à Paris, le Kremlin à Moscou, la porte de Brandebourg à Berlin, les chutes du Niagara, la tour la plus haute du monde Burj Khalifa à Dubaï, les remparts de Dubrovnik en Croatie et le stade olympique de Pékin ont aussi été éteintes.

Au Québec, l'éclairage des édifices de l'Assemblée nationale a été interrompu de 20h30 à 21h30. Seules les lumières nécessaires à la sécurité des lieux ont été maintenues.

À Montréal, les lumières des principaux bâtiments municipaux ont aussi été éteintes pendant une heure.

En tout, quelque 150 pays et 6500 villes participent à « Une heure pour la Terre », geste auquel prennent aussi part des centaines de millions de personnes.

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) veut sensibiliser la population au défi mondial le plus urgent : les changements climatiques. Ils réclament des mesures concrètes de lutte aux changements climatiques.

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