Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Spengler vu par son rival

Spengler vu par son rival

Au début de la saison, Bruno Spengler n'aurait probablement jamais parié sur lui pour la course au titre. Pourtant, après 2 victoires en 3 courses, le Québécois commence à embêter Mercedes-Benz.

Avec sa victoire à Oschersleben, dimanche, Spengler est revenu à 11 points du meneur du championnat, le pilote Mercedes-Benz Gary Paffett.

Paffett connaît bien Spengler, puisqu'ils ont été coéquipiers pendant plusieurs années, mais avec le transfert de Spengler chez BMW en 2012, les voici rivaux.

Paffett, qui a toujours été en tête du classement, avait 40 points d'avance après la quatrième course de la saison. Cette avance a fondu à 11, avec deux courses à disputer. Le DTM offre 25 points pour une victoire.

Le retour de Spengler au classement oblige Paffett à calmer le jeu.

« Je sais que 11 points, ce n'est pas beaucoup, explique Paffett au magazine Autosport. Mais je crois que je peux gagner le titre en le devançant dans une des deux courses qu'il reste à disputer. »

Ce qu'il n'a pas réussi à faire à Oschersleben.

« Ce qui me rend confiant, explique le Britannique, c'est que même s'il a repris beaucoup de points dans les 4 dernières courses, il n'a été plus rapide que moi qu'en une occasion, au Nürburgring.

« À Oschersleben, nous étions pas mal à égalité, tandis qu'au Norisring et à Zandvoort, j'étais plus rapide que lui, mais j'ai perdu des places à cause de manoeuvres d'autres pilotes.

La prochaine étape aura lieu à Valence, en Espagne, sur le circuit routier, pas le circuit urbain utilisé par la F1 dans le port.

En 2011, Spengler, alors dans une Mercedes-Benz, avait fait jeu égal avec Paffett, le battant par 5 dixièmes de seconde pour finir 7e.

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.