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J'aurais aimé vous parler de culture avec un grand C, mais il semble que ce qui occupe le plus l'espace médiatique ces derniers jours, à part la triste perte du commentateur politique Jean Lapierre et celle du pionnier de la télé québécoise Jean Bissonnette, soit le visage de Julie Snyder.
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J'aurais aimé vous parler de culture avec un grand C, mais il semble que ce qui occupe le plus l'espace médiatique ces derniers jours, à part la triste perte du commentateur politique Jean Lapierre et celle du pionnier de la télé québécoise Jean Bissonnette, soit le visage de Julie Snyder.

La populaire animatrice et productrice n'est pas une proche, je n'ai jamais fait partie de ses équipes de travail. J'ai travaillé pour Quebecor, donc pour Pierre Karl Péladeau à quelques reprises, notamment à TVA ou pour Le Journal de Montréal qui m'a mise en lock-out en 2009 et où, pour toutes sortes de raisons qui n'ont rien à voir avec le contenu de ce billet, je ne suis jamais retournée après le règlement.

Voilà le seul lien que j'aurais avec elle. Je ne pense même pas lui avoir déjà serré la main.

Quoiqu'on puisse entendre, dire ou voir sur sa manière de diriger, d'animer, de gérer, d'interagir avec ses employés, ses intimes ou le public, ce que j'y ai toujours vu de mon œil de téléspectatrice et de communicatrice, c'est une battante, persévérante, qui a certainement quelques vilains défauts, comme nous tous, mais dont j'estime la manière de s'être taillé une place bien à elle dans l'espace télévisuel québécois.

Je crois comprendre, sans connaître les tenants et aboutissants de sa trajectoire personnelle et professionnelle, qu'elle s'est construit, dès ses touts débuts, sans plogues ou contacts particuliers dans le compétitif et féroce milieu des médias, une carrière enviable et méritée en mettant en valeur sa pétillante fougue singulière et que cette carrière perdure parce qu'elle a su bien s'entourer, certes, mais sans doute aussi parce qu'elle est talentueuse, sinon, elle n'aurait duré que le temps d'un ou deux printemps.

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