Le chef de file de l'opposition gabonaise, Jean Ping, a rejeté la confirmation selon lui « injuste », par la Cour constitutionnelle, de la victoire d'Ali Bongo à l'élection présidentielle du 27 août.
Son rejet de l'avis de la Cour constitutionnelle laisse augurer de la poursuite d'une crise politique violente dans le pays.
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