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Fermeture de fermes laitières: le Bloc blâme Ottawa et exige de l'aide immédiate

Fermeture de fermes laitières: le Bloc blâme Ottawa
ITALY - JANUARY 15: Cows seen penned on the dairy farm owned by Pietro Gennari in Parma, Italy, Thursday, January 15, 2004. Gennari, 46, his three siblings and their 68-year-old mother have 1,000 cows that live across a wheat field from Parmalat's plant. Their milk has always gone entirely to producing 40 drums of parmesan a day. The Italian soccer team took seven drums of their cheese to the 2002 World Cup in Japan and Korea. (Photo by Giuseppe Aresu/Bloomberg via Getty Images)
Bloomberg via Getty Images
ITALY - JANUARY 15: Cows seen penned on the dairy farm owned by Pietro Gennari in Parma, Italy, Thursday, January 15, 2004. Gennari, 46, his three siblings and their 68-year-old mother have 1,000 cows that live across a wheat field from Parmalat's plant. Their milk has always gone entirely to producing 40 drums of parmesan a day. The Italian soccer team took seven drums of their cheese to the 2002 World Cup in Japan and Korea. (Photo by Giuseppe Aresu/Bloomberg via Getty Images)

MIRABEL _ Alors que le Canada s'apprête à signer l'accord du Partenariat transpacifique la semaine prochaine, en Nouvelle-Zélande, le Bloc québécois presse le gouvernement fédéral d'aider immédiatement les producteurs laitiers québécois qui devront faire face à un volume grandissant des importations de protéines laitières.

Le porte-parole bloquiste en agriculture, Simon Marcil, estime que 257 fermes laitières ont déjà été forcées de mettre fin à leurs opérations l'année dernière sur le territoire québécois, et que la situation risque de s'empirer.

Le député de Mirabel presse Ottawa d'agir de tout urgence pour enrayer l'importation de protéines laitières. Simon Marcil affirme que, depuis des années, des entreprises étrangères contournent les lois canadiennes pour concurrencer déloyalement les producteurs québécois sous gestion de l'offre.

M. Marcil souligne que l'inquiétude de l'industrie ne cesse de croître avec l'ouverture accrue du marché québécois dans le Partenariat transpacifique.

Le député bloquiste affirme que, dans ses négociations de libre-échange avec le monde, le gouvernement canadien "ne sacrifient presque jamais le boeuf de l'Ouest ou l'industrie automobile de l'Ontario, mais plutôt les industries chères au Québec".

Simon Marcil soutient également que le gouvernement québécois actuel ne fait rien dans ce dossier et "se met à genoux" devant le fédéral.

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