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Un avion d'Air France se pose à Montréal à cause d'une menace anonyme

Un avion d'Air France se pose à Montréal à cause d'une menace anonyme
Boeing 777-200.Air France and KLM Royal Dutch Airlines have been a single company for a number of years, hence the Air France KLM lettering just below the flight deck windows.While Toronto is generally a bigger air travel market than Montreal (within Canada) for most airlines, not so for Air France. Air France has 3 daily Paris-Montreal-Paris flights, but just one daily Paris-Toronto-Paris flight. This is flight AF356 Paris Charles de Gaulle to Toronto Lester B. Pearson.
Canadian Pacific/Flickr
Boeing 777-200.Air France and KLM Royal Dutch Airlines have been a single company for a number of years, hence the Air France KLM lettering just below the flight deck windows.While Toronto is generally a bigger air travel market than Montreal (within Canada) for most airlines, not so for Air France. Air France has 3 daily Paris-Montreal-Paris flights, but just one daily Paris-Toronto-Paris flight. This is flight AF356 Paris Charles de Gaulle to Toronto Lester B. Pearson.

PARIS — Un avion d'Air France parti de San Francisco qui devait se rendre à Paris s'est posé à Montréal en toute fin de soirée, lundi, après qu'une menace anonyme d'une nature encore inconnue ait été émise.

Les passagers et les 15 membres d'équipage ont pu évacuer l'appareil en toute sécurité après son atterrissage à l'Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau.

Une quinzaine de camions de lutte aux incendies et des voitures de police étaient à l'aéroport lorsque l'avion s'est posé. Les autorités aéroportuaires canadiennes ont ensuite entrepris l'examen de l'avion et des bagages qu'il transportait.

Air France a signalé par voie de communiqué que c'est l'équipage du vol AF83 qui a décidé de demander à l'aéroport montréalais la permission de se poser, par précaution. La compagnie promet qu'une enquête cherchera à trouver l'origine de la menace.

L'un des quelque 230 passagers, Gilles Raymond, a relaté qu'après cinq heures de vol environ, le pilote a avisé qu'un atterrissage à Montréal était nécessaire pour des raisons techniques. Aucune réaction de panique ne s'est produite, semble-t-il.

Chacun des passagers a été rencontré par les autorités qui leur ont annoncé qu'ils devaient passer la nuit de lundi à mardi à Montréal avant de repartir vers Paris.

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