Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Bombardier: l'opposition dénonce le transfert d'emplois à l'étranger

Bombardier: l'opposition dénonce le transfert d'emplois à l'étranger

QUÉBEC _ Le projet de Bombardier de transférer une partie de ses activités vers ses usines situées en Inde, au Mexique et au Maroc a créé un malaise dans les rangs des partis d'opposition, mercredi.

Ce projet de délocalisation dans des pays où la main-d'oeuvre est disponible à faible coût n'augure rien de bon en termes de maintien et de création d'emplois au Québec, selon le Parti Québécois (PQ), la Coalition avenir Québec (CAQ) et Québec solidaire (QS).

Mardi, en présentant sa stratégie quinquennale de redressement, le président et chef de la direction de Bombardier, Alain Bellemare, a exprimé son intention de réduire ses coûts d'exploitation en recourant davantage à la délocalisation de certaines activités de fabrication vers l'étranger, sans toutefois préciser le nombre d'emplois qui seraient ainsi affectés.

Le chef de l'opposition officielle, Pierre Karl Péladeau, et le chef de la CAQ, François Legault, y ont vu la preuve que Québec avait conclu une mauvaise entente avec Bombardier, sans aucune garantie de maintien des emplois au Québec.

Le gouvernement Couillard annonçait récemment un investissement de 1,3 milliard $ dans la filiale de Bombardier consacrée à mettre au point et commercialiser ses appareils du programme CSeries.

INOLTRE SU HUFFPOST

Métro Rocket, Toronto, Canada

Bombardier Transport

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.