L'actrice Salma Hayek admet que les studios hollywoodiens ne l'appellent plus aussi souvent dernièrement, mais elle assure qu'elle demeure malgré tout très occupée. «Je crois qu'ils ne veulent plus de moi, mais je m'en fous», a-t-elle déclaré.
L'actrice, qui a déjà été nommée pour un Oscar, produit un film d'animation adapté du livre de Kahlil Gibran, Le prophète, en plus de doubler l'un des personnages. Le long métrage prendra l'affiche le 7 août en Amérique du Nord.
Salma Hayek foule moins souvent qu'avant les tapis rouges, mais elle affirme qu'elle occupe son temps en s'impliquant pour de bonnes causes, en plus de s'occuper de sa fille de sept ans, Valentina Pinault, et de voyager avec son mari, l'homme d'affaires français François-Henri Pinault.
«J'ai reçu différents prix pour le travail humanitaire que j'ai fait, et j'ai participé à plusieurs films. Puis, il y a mon époux, qui me fait visiter plusieurs endroits. La vie me tient occupée», a-t-elle expliqué.
Celle qui aura 49 ans le mois prochains a froncé les sourcils pour montrer ses rides. «Pas encore de Botox, comme vous le voyez», a-t-elle lancé, ajoutant que la quarantaine a été pour elle une «grande aventure».
«Vous ne paraissez pas aussi mal que vous imaginiez. Vous ne vous sentez pas aussi vieille que vous pensiez que vous alliez vous sentir. C'est un mythe. La quarantaine est pleine de vie, a-t-elle dit. La seule chose difficile avec la quarantaine est lorsque vous n'avez pas eu d'enfant. C'est terrible.»
Elle a ajouté: «Et les hommes aujourd'hui sont terribles, parce que lorsque vous arrivez à la quarantaine, ils (...) commencent à s'en aller. Mais vous savez quoi? (Pas) les bons gars.»
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