Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Ebola: le virus continue de sévir au Liberia

Ebola: le virus continue de sévir au Liberia
A health worker wearing a personal protective equipment (PPE) works at the Ebola treatment center run by the French red cross society in Macenta in Guinea on November 20, 2014. Guinea and fellow west African states Liberia and Sierra Leone have been hardest hit by the deadly Ebola virus, which has claimed nearly 5,200 lives this year, according to the World Health Organization (WHO). AFP PHOTO KENZO TRIBOUILLARD (Photo credit should read KENZO TRIBOUILLARD/AFP/Getty Images)
KENZO TRIBOUILLARD via Getty Images
A health worker wearing a personal protective equipment (PPE) works at the Ebola treatment center run by the French red cross society in Macenta in Guinea on November 20, 2014. Guinea and fellow west African states Liberia and Sierra Leone have been hardest hit by the deadly Ebola virus, which has claimed nearly 5,200 lives this year, according to the World Health Organization (WHO). AFP PHOTO KENZO TRIBOUILLARD (Photo credit should read KENZO TRIBOUILLARD/AFP/Getty Images)

La fièvre Ebola était toujours présente au Liberia quand la fin de l'épidémie y a été proclamée en mai, laisse entendre vendredi l'Organisation mondiale de la santé sur la base de nouvelles analyses.

Le Liberia vient d'enregistrer cinq nouveaux cas après avoir été déclaré exempt de la maladie le 9 mai. Les résultats montrent que le virus qui a fait une nouvelle victime à la fin juin « est très proche de celui qui circulait dans ce secteur du Liberia », a déclaré Tarik Jasarevic, porte-parole de l'OMS.

Réunion de financement à l'ONU en faveur des pays les plus touchés

L'ONU accueille par ailleurs vendredi à New York une conférence qui vise à rassembler des fonds pour aider les trois pays d'Afrique de l'Ouest les plus touchés par l'épidémie d'Ebola - le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée, où l'on compte plus de 99 % des victimes de l'épidémie qui a fait plus de 11 200 morts depuis décembre 2013.

L'objectif est de réunir 3,2 milliards de dollars pour reconstruire les services de base, dont les systèmes de santé. Le virus Ebola a tué plusieurs médecins et infirmières, ce qui risque de provoquer une flambée de mortalité maternelle lors de grossesses et d'accouchements dans les trois pays, selon un rapport de la Banque mondiale publié mercredi.

Plus de 4000 femmes risquent de mourir chaque année en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone en raison des effets indirects de l'épidémie d'Ebola.

INOLTRE SU HUFFPOST

Faiblesse

Ebola: les symptômes

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.