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Les usagers de la STM pourront bientôt recharger leur carte OPUS à la maison

Recharger sa carte OPUS à la maison, ce sera bientôt posssible
Radio-Canada/Valérie-Micaela Bain

Les usagers de la Société de transport de Montréal (STM) pourront bientôt recharger leur carte Opus à domicile. La STM lance ce nouveau service qui permet de recharger sa carte, d'en vérifier le contenu ou la date d'expiration sur son ordinateur personnel.

Les clients devront se munir d'un lecteur de carte et le brancher à leur ordinateur au moyen d'un câble USB pour utiliser le service de recharge à distance. Seuls les titres mensuels et hebdomadaires - à tarif régulier et tarif réduit - seront ainsi disponibles pour l'instant.

Twitter a réagi en ridiculisant le nouveau prototype de la STM:

À terme, la majorité des titres de la STM, de l'Agence métropolitaine de transport, de la Société de transport de Laval, du Réseau de transport de Longueuil et de l'Association québécoise du transport intermunicipal et municipal offerts sur la carte Opus seront disponibles.

Le nouveau service n'est toutefois pas gratuit puisque l'utilisateur devra débourser un peu plus de 15 $ pour l'achat du lecteur Opus. Le client devra également commander l'appareil en ligne et régler ses achats de titres par carte de crédit.

Cette nouvelle offre de service, qui a vu le jour à la suite d'un projet-pilote, permet notamment à ses usagers de gagner du temps en évitant de faire la queue aux distributeurs et aux points de vente, selon la STM.

Le vice-président Couronne Sud de l'Association québécoise du transport intermunicipal et municipal, Normand Dyotte, estime que cette plateforme de recharge deviendra « une solution efficace et facile d'accès pour la clientèle géographiquement éloignée des points de vente et pour la clientèle à mobilité réduite ».

Quant au président du conseil d'administration de la STM, Philippe Schnobb, il a qualifié cette nouvelle solution de « première en Amérique ».

Financé en partie par l'entremise du Fonds fédéral de la taxe sur l'essence et d'une contribution du gouvernement du Québec, le développement du nouveau service en ligne aura coûté 7,6 millions de dollars.

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