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Pierre Karl Péladeau évoque à nouveau le passé saoudien de Philippe Couillard

PKP s'en prend encore au passé saoudien de Couillard
Pierre Karl Peladeau listens while Pauline Marois announcing her retirement after lost her seat in front of her supporters at the Parti Québécois rally in Montreal April 7, 2014. Canada's Quebec province voted out a separatist government Monday, choosing a former neurosurgeon and his federalist Liberal party to lead a promised economic rally. AFP PHOTO / François Laplante-Delagrave (Photo credit should read François Laplante-Delagrave/AFP/Getty Images)
AFP via Getty Images
Pierre Karl Peladeau listens while Pauline Marois announcing her retirement after lost her seat in front of her supporters at the Parti Québécois rally in Montreal April 7, 2014. Canada's Quebec province voted out a separatist government Monday, choosing a former neurosurgeon and his federalist Liberal party to lead a promised economic rally. AFP PHOTO / François Laplante-Delagrave (Photo credit should read François Laplante-Delagrave/AFP/Getty Images)

Pierre Karl Péladeau ne compte pas en rester là après que Philippe Couillard l'ait insulté au Salon bleu.

Sur Facebook, l'aspirant chef du Parti québécois accuse le premier ministre de manquer de jugement en raison de son « long séjour en Arabie saoudite » et de fermer les yeux sur son implication dans la société Amorfix.

L'opposition a questionné Couillard sur ses liens avec l’homme d’affaires Hans Black, son « bon ami » accusé de fraude après la parution d'un article dévastateur du Journal de Montréal. Furieux, il a dénoncé le contrôle de Québecor par Pierre Karl Péladeau.

« Il n'y a pas une société démocratique qui accepterait la situation de contrôle d'un empire médiatique de la taille du Québec », a-t-il tonné en chambre sous les applaudissements de son parti et de la Coalition avenir Québec.

Péladeau croit qu'il s'agit d'un « parallèle grossier » entre sa situation et la sienne. « Il m'accuse, ainsi que mon parti, de manquer de gouvernance alors que lui-même responsable du comité de gouvernance et de nomination de la compagnie Amorfix où il a assumé la présidence du conseil d'administration, s'en lave les mains, tel Ponce Pilate. Une belle supercherie », peut-on lire sur Facebook.

Il déplore également que François Legault se soit joint au Parti libéral dans cette « offensive de piètre qualité ».

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