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Premier long-métrage:Yan England développe un drame psychologique (ENTREVUE)

Premier long-métrage :Yan England développe un drame psychologique
Actor Yan England arrives at the 85th Academy Awards at the Dolby Theatre on Sunday Feb. 24, 2013, in Los Angeles. (Photo by Todd Williamson/Invision/AP)
Todd Williamson/Invision/AP
Actor Yan England arrives at the 85th Academy Awards at the Dolby Theatre on Sunday Feb. 24, 2013, in Los Angeles. (Photo by Todd Williamson/Invision/AP)

Le premier long-métrage écrit et réalisé par Yan England sera un drame psychologique se déroulant en milieu scolaire. Celui qui a accompagné son court-métrage Henry jusqu’aux Oscars, en 2013, a soumis une première fois son scénario aux institutions pour financement, mais ne s’attend pas à tourner prochainement, conscient des délais qui ponctuent souvent la route jusqu’au grand écran.

«Je sais que, faire un film, c’est un long processus, qui peut prendre des années, explique Yan. Plusieurs réalisateurs et scénaristes de très grand talent soumettent des projets. Souvent, on peut se rendre à trois dépôts aux institutions. Je continue donc à travailler mes choses, je soumets, je retravaille, j’écoute les commentaires, et quand les décideurs jugeront qu’il est prêt, on partira. D’ici là, je ne sais pas combien de temps va passer, mais je n’abandonne pas.»

Yan refuse de dévoiler plus d’informations sur son histoire, mis à part le fait qu’il compte tourner au Québec. Jouera-t-il dedans, en plus de l’écrire et de la réaliser? Mystère. A-t-il déjà choisi les acteurs qui l’entoureront? Silence.

«C’est un drame psychologique qui se passe en milieu scolaire, mais c’est tout ce que je dis, parce que je suis superstitieux, admet le jeune homme en riant. On verra bien pour le reste. Chaque chose en son temps.»

Vol 920

Lorsqu’il est aux commandes d’un plateau de cinéma, Yan England se considère comme un «gars d’équipe» et il adore bosser en collégialité avec ses comédiens.

«Que ce soit un film, une série, une téléréalité, peu importe, tout se fait en équipe. Il faut foncer ensemble. C’est ce que j’aime de ce genre de projet. J’apprends beaucoup des réalisateurs avec qui je travaille, comme Podz ou François Gingras. J’aime m’asseoir à côté d’eux et regarder ce qu’ils font, comment ils dirigent. J’apprends de tout ce monde-là et j’essaie de m’améliorer.»

Par ailleurs, Yan s’apprête à remonter dans l’avion de Vol 920, qui reviendra à TVA pour une deuxième saison l’an prochain. L’animateur ne peut, pour l’instant, annoncer les destinations que les prochains candidats célibataires de l’émission visiteront mais, si on se fie à son regard enthousiaste, le trajet sera de plus haut calibre encore que la première fois. Il y aura toujours neuf pays à l’itinéraire, et le signal de départ sera donné cet été.

«Il n’y a rien d’officiel encore, mais on m’a parlé de ce qui s’en vient, et c’est hallucinant, s’emballe Yan. Quand on m’a dit les pays envisagés, j’étais bouche bée, flabergasté! Si tout se concrétise, ce sera un vrai rêve…»

Yan England est également de la distribution de Yamaska, à TVA, et de L’appart du 5e, à VRAK.

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