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Échange de tirs entre les Forces canadiennes et le groupe État islamique en Irak

Échange de tirs entre les Forces canadiennes et l'EI en Irak
FILE - This undated file image posted on a militant website on Tuesday, Jan. 14, 2014 shows fighters from the al-Qaida-linked Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) marching in Raqqa, Syria. Saudi Arabia and other Gulf petro-powerhouses encouraged a flow of cash to Sunni rebels in Syria for years. But now they face a worrying blowback as an al-Qaida breakaway group that benefited from some of the funding storms across a wide swath of Iraq. Gulf nations fear its extremism could be a threat t
ASSOCIATED PRESS
FILE - This undated file image posted on a militant website on Tuesday, Jan. 14, 2014 shows fighters from the al-Qaida-linked Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) marching in Raqqa, Syria. Saudi Arabia and other Gulf petro-powerhouses encouraged a flow of cash to Sunni rebels in Syria for years. But now they face a worrying blowback as an al-Qaida breakaway group that benefited from some of the funding storms across a wide swath of Iraq. Gulf nations fear its extremism could be a threat t

OTTAWA - Les forces spéciales canadiennes ont encore une fois échangé des tirs avec des membres du groupe armé État islamique (ÉI) dans le nord de l'Irak.

Un porte-parole du Commandement des opérations interarmées du Canada a indiqué jeudi que l'incident n'avait fait aucune victime du côté canadien, sans donner plus de détails pour des motifs de "sécurité opérationnelle".

Le capitaine de vaisseau Paul Forget a seulement expliqué que les militaires canadiens avaient dû, pour se défendre, "retourner le feu" contre des membres du groupe armé, et que "les coups de feu ont duré jusqu'à ce que la situation soit résolue, évidemment".

Il s'agit du quatrième échange de tirs depuis le déploiement de la Force spéciale canadienne, dans le cadre de l'"opération Impact" au Moyen-Orient, à l'automne.

Les États-Unis souhaitent intensifier les activités des forces spéciales dans la guerre contre les djihadistes, une décision qui pourrait, selon des analystes, accroître la pression sur le gouvernement de Stephen Harper, qui s'apprête à reconduire la mission canadienne dans la région _ qui devait initialement durer six mois.

Dans son projet de résolution, toujours débattu au Congrès à majorité républicaine, le président Barack Obama n'autorise les opérations de combat au sol qu'en certaines circonstances, mais permet aux forces spéciales américaines de traquer des dirigeants du groupe armé ÉI, où qu'ils soient.

Le capitaine Forget a indiqué jeudi que le gouvernement Harper n'avait autorisé aucun changement au mandat initial confié aux troupes canadiennes au Moyen-Orient.

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