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Gaz à effet de serre: Harper salue l'accord sur le climat entre Washington et Pékin

Harper salue l'accord sur le climat entre Washington et Pékin
AUCKLAND, NEW ZEALAND - NOVEMBER 14: Prime Minister Of Canada Stephen Harper talks at a press conference at the Sky City Grand Hotel on November 14, 2014 in Auckland, New Zealand. World economic leaders will all travel to Brisbane for the G20 Leadership Summit November 15-16. (Photo by Jason Dorday/Getty Images)
Jason Dorday via Getty Images
AUCKLAND, NEW ZEALAND - NOVEMBER 14: Prime Minister Of Canada Stephen Harper talks at a press conference at the Sky City Grand Hotel on November 14, 2014 in Auckland, New Zealand. World economic leaders will all travel to Brisbane for the G20 Leadership Summit November 15-16. (Photo by Jason Dorday/Getty Images)

Le premier ministre Stephen Harper salue l'entente entre la Chine et les États-Unis sur le contrôle et la réduction des émissions de gaz à effet de serre, qu'il qualifie de « pas dans la bonne direction ». Il ne veut cependant pas indiquer si le Canada emboîtera le pas en proposant des cibles de réduction plus agressives.

Un texte de Daniel Thibeault

« Je dis depuis mon arrivée en fonction qu'on a besoin d'un protocole international qui inclut tous les grands émetteurs et que c'est essentiel d'avoir les États-Unis et la Chine, qui produisent près de 40 % des émissions mondiales [de gaz à effet de serre], a-t-il souligné. Avec ces deux pays, c'est vraiment possible d'atteindre un vrai protocole international et je pense que c'est un développement très positif à cet égard. »

M. Harper maintient que son gouvernement travaille déjà étroitement avec Washington pour règlementer plusieurs secteurs d'activité et que le Canada fait déjà mieux que les États-Unis dans certains domaines.

Il appuie la décision de son homologue australien de consacrer le sommet du G20 aux questions économiques, même s'il croit que l'entente entre la Chine et les États-Unis va susciter des discussions.

Alors que Washington semble de plus en plus convaincu que la lutte contre le groupe armé État islamique passe par le retrait du président syrien Bashar Al-Assad, Stephen Harper maintient qu'il préfère une solution démocratique. Il veut que la décision soit prise par le peuple syrien.

Le premier ministre n'exclut pas une participation canadienne à des frappes aériennes en Syrie, pourvu qu'elles soient dirigées contre des cibles de l'État islamique et non contre le gouvernement syrien

Stephen Harper était en visite en Nouvelle-Zélande pour un tête-à-tête avec son homologue le premier ministre John Key, avant de se rendre en Australie, pour participer au sommet du G20, qui se déroule en fin de semaine.

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