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«L'entraîneur»: Sébastien Delorme tête d'affiche d'une nouvelle web-série

«L'entraîneur»: Sébastien Delorme tête d'affiche d'une nouvelle web-série
Julie Perreault

Sébastien Delorme sera la vedette d’une nouvelle web-série que TVA diffusera bientôt sur toutes ses plateformes internet. Intitulé L’entraîneur, le projet se déclinera en courtes capsules, dans lesquelles le comédien incarnera un entraîneur sportif qui motivera des personnalités connues à bouger.

«Le concept, c’est que Sébastien Delorme a pris une pause dans sa carrière d’acteur et est devenu «l’entraîneur», a expliqué le principal intéressé. Des invités de marque viendront me rendre visite, comme Guillaume Lemay-Thivierge, Julie Perreault, Laurent Paquin, Sonia Vachon, et ainsi de suite. Ils vont tous venir s’entraîner, se remettre en forme, pour diverses raisons. Ça amènera des situations comiques.»

L’idée de L’entraîneur a migré dans l’esprit de Sébastien Delorme, de ses deux amis réalisateurs, Stéphane Beaudoin et Martin Thibault, qui l’ont dirigé dans La Promesse, et de leur copain Alexandre Goyette, qui jouait aussi dans le téléroman de Danielle Trottier. C’est d’ailleurs Alexandre qui signe les textes de la comédie web.

«On savait qu’Alexandre écrivait des pièces, qu’il avait une bonne plume, a indiqué Sébastien. Il était juste assez baveux pour ce qu’on voulait! Le ton de L’entraîneur est irrévérencieux, et très, très drôle. Je suis très fier de ce qui s’en vient, j’ai très hâte de le montrer. On s’est payé la traite, on s’est écrit de belles histoires, et on espère vous faire rire!»

Les premières bandes-annonces de L’entraîneur rouleront à TVA vers la mi-novembre, pour ensuite rediriger le trafic sur les différents portails web de la chaîne.

Retour de Cannes

Sébastien Delorme affichait un immense sourire lorsqu’il a foulé le tapis bleu qui longeait le Centre Bell, quelques minutes avant le début de la partie opposant les Canadiens de Montréal aux Bruins de Boston, jeudi. Tout juste débarqué du MIPCOM de Cannes, la veille, où la série Le berceau des anges, dans laquelle il interprète le personnage principal, a fait sensation, Sébastien était encore sous le choc de l’intensité soulevée par leur passage, à ses collègues et lui, sur la Croisette.

«C’était extraordinaire, a-t-il raconté. La réception a été très bonne, on a vécu un tapis rouge incroyable. C’était big! C’était vraiment une belle expérience! C’était surprenant de voir tous ces murs de photographes qui criaient mon nom, «Sébastien, Sébastien», a poursuivi ce dernier en imitant l’accent français. Il fallait prendre la pose pendant trois ou quatre minutes. Ça a été un moment incroyable de ma carrière!»

Chez nous, Le berceau des anges prendra l’antenne de Séries+ au printemps prochain. Inspirée d’un pan méconnu de l’histoire du Québec, la minisérie de six épisodes exposera une enquête fictive autour d’un trafic de vente illégale de bébés tissé entre le Québec et les États-Unis dans les années 1950. Une bande-annonce de la production a été projetée au MIPCOM, grand marché mondial de la télévision, plus tôt cette semaine, dans l’un des volets de l’événement réservé aux séries les plus prometteuses à venir sur les écrans, la conférence Fresh TV Fiction. Cliquez ici pour en savoir plus.

Aux dires de Sébastien Delorme, la réaction suscitée par l’extrait montré à Cannes laisse présager le meilleur pour l’avenir du Berceau des anges. «J’ai hâte de voir tous les épisodes, mais la vibe est bonne, a-t-il laissé planer. C’était déjà de grande qualité à l’écriture et, de ce que j’ai vu au fur et à mesure qu’on tournait, c’était super bon. Alors, on y croit. On veut toujours jouer dans des hits, et je pense qu’on est sur la bonne voie!»

Sébastien sera aussi de l’ultime tour de piste de Lance et compte, sous-titré La finale, disponible sur Club illico en novembre et ajouté à la grille-horaire de TVA l’hiver prochain.

Toujours avec Julie Perreault

Jeudi soir, avant d’entrer dans le Centre Bell, Sébastien Delorme a marché sur quelques mètres du tapis bleu en compagnie de la comédienne Simone-Élise Girard, qui personnifie Judith Carpentier, dans Unité 9. Tous deux ont posé ensemble devant les photographes pendant quelques minutes. Avant que la machine à rumeurs ne s’emballe, l’artiste a précisé qu’il est toujours amoureux de Julie Perreault, la mère de ses deux enfants, Thomas, 13 ans, et Élisabeth, 5 ans. Un ami l’accompagnait pour cette soirée de hockey.

«À ce que je sache, Julie et moi sommes toujours en couple, a-t-il blagué. C’est toujours elle qui est avec mes enfants, à la maison, ce soir! (rires)»

Quant à ses prédictions pour la saison du Canadien, elles sont très positives.

«On se rapproche de la Coupe Stanley, a-t-il lancé, confiant. Je ne sais pas si c’est pour cette année, mais on n’est pas loin. On a plein de jeunes talents qui sont là, on s’est débarrassé des vétérans, alors, s’il n’y a pas trop de chicane, ça devrait bien aller. C’est une équipe qui a énormément de caractère, qui est capable de revenir de l’arrière, ils nous l’ont montré l’an dernier et en début de saison, alors, pourquoi pas? Je veux que mes enfants voient ça! Ça fait trop longtemps, la dernière Coupe, en 1993…»

Sébastien Delorme s’est d’ailleurs réjoui que son fils abandonne, au printemps dernier, son engouement pour les Penguins de Pittsburgh, pour se rallier aux amateurs du Canadien. «Il a lâché Crosby et les Pengouins et il s’est adapté aux Canadiens. C’a marché!», a rigolé le fier papa.

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