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Fusillade à Moncton : le monde politique réagit (VIDÉOS, PHOTOS)

Fusillade à Moncton : le monde politique réagit

Le premier ministre Stephen Harper, actuellement en voyage en Europe, a offert ses condoléances ce matin par voie de communiqué. Cet événement rappelle « de manière brutale que les hommes et les femmes de nos forces policières du Canada mettent leur vie en jeu chaque jour pour protéger nos citoyens et nos communautés ».

« C'est une triste journée pour la population de Moncton, pour la population du Nouveau-Brunswick et pour le Canada. »

— Stephen Harper

Nos pensées et nos prières sont avec les gens de #Moncton. J’aimerais remercier ceux qui ont risqué leur vie pour nous garder en sécurité.

- Justin Trudeau, MP (@JustinTrudeau) 5 Juin 2014

Fusillade à Moncton (4-5 juin 2014)

Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, s'est dit « surpris et attristé d'apprendre l'incident tragique qui s'est produit ce soir à Moncton », dans un communiqué diffusé mercredi.

Il a mentionné que toutes ses pensées allaient vers les personnes touchées par les événements. David Alward a également exhorté la population, en particulier les résidents des secteurs identifiés par la police, à suivre la situation de près et à suivre les conseils de la police.

« Je suis choqué et attristé d'apprendre la situation tragique de ce soir à Moncton. J'adresse mes pensées et mes prières à ceux qui sont touchés. »

— David Alward, premier ministre du Nouveau-Brunswick

La maire de Moncton, Georges LeBlanc, s'est adressé mercredi aux citoyens par voie de communiqué et par l'entremise des réseaux sociaux. Sur son compte Twitter, il a demandé aux résidents de demeurer à l'intérieur de leur maison et de libérer les rues afin de permettre aux policiers de faire leur travail.

Le maire de Moncton, George LeBlanc, offre ses condoléances durant la conférence de presse

« J'offre mes plus sincères condoléances aux familles des policiers décédés, ainsi qu'à leurs collègues. Leur courage et leurs actions, ce soir, resteront gravés dans nos mémoires. Je demande à tous les résidents de respecter les avertissements de la GRC. La police et les autres employés des mesures d'urgence travaillent dans des conditions extrêmement difficiles et ils ont besoin de notre entière collaboration », a déclaré le maire.

« Restez à la maison, et demeurez en sécurité. Si vous ne pouvez pas vous rendre chez vous, cherchez un ami, de la famille, et restez là jusqu'à avis contraire. Il s'agit d'une soirée très éprouvante pour notre communauté; restez calmes, mais vigilants. Je suis confiant que la GRC restaurera bientôt paix et ordre. »

— Georges Leblanc, maire de Moncton

Le ministre fédéral de la Sécurité publique, Steven Blaney, s'est dit pour sa part « ébranlé par la tragédie de Moncton. »

Cette fusillade n'est pas sans rappeler une autre tragédie qui a touché la Gendarmerie royale du Canada, en mars 2005, à Mayerthorpe, en Alberta. Quatre agents, Brock Myrol, Leo Johnston, Peter Schiemann et Anthony Gordon, avaient alors été abattus par James Roszko lors d'une intervention policière à la ferme de ce dernier. Le meurtrier s'était ensuite enlevé la vie.

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