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France: Bernadette Chirac soutient Valérie Trierweiler, juge son sort "assez dur"

France: Bernadette Chirac soutient Valérie Trierweiler, juge son sort "assez dur"

L'ex-Première dame française Bernadette Chirac juge "assez dur" le sort de Valérie Trierweiler, dont la situation n'est toujours pas clarifiée avec le président François Hollande dans un entretien diffusé mercredi par la radio Europe 1.

"Vous savez, c'est assez dur", a observé Mme Chirac, 80 ans, à propos de la place du conjoint présidentiel. "J'ai aimé ça (...), mais j'ai eu la chance d'être 18 ans la femme du maire de Paris, 4 ans la femme du Premier ministre, 10 ans la femme d'un ministre..."

Bernadette Chirac a précisé avoir envoyé "un tout petit mot" de soutien à Valérie Trierweiler, hospitalisée pendant huit jours après le choc de la révélation d'une liaison entre le président et une actrice et toujours en convalescence dans une résidence présidentielle près du Château de Versailles.

"J'espère beaucoup que c'est seulement un moment de fatigue", a-t-elle ajouté, précisant lui avoir dit qu'elle "prenait part à sa tristesse" et qu'elle pensait "que certainement tout ça va s'arranger très vite".

François Hollande a promis une clarification sur son couple avant le 11 février, date de son déplacement aux Etats-Unis pour une visite d'Etat à laquelle a été conviée Valérie Trierweiler.

Lors de son passage à l'Elysée, Bernadette Chirac avait du composer avec la réputation en matière amoureuse largement répandue de son mari. Dans un livre-entretien en 2007, Jacques Chirac avait reconnu n'avoir "pas détesté les femmes", estimant exagérée l'expression de son épouse selon qui, avec lui, "les femmes, ça galopait".

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