Élu fin novembre à la tête de la Fédération des travailleurs du Québec, Daniel Boyer affirme que la majorité des problèmes sont réglés au sein du syndicat, sur la sellette ces dernières années pour des histoires de liens de proximité.
Numéro 2 sous la présidence de Michel Arsenault, M. Boyer dit qu'il n'a pas de squelettes dans son placard et que la FTQ est dans un « processus d'amélioration continue ».
Pour le syndicaliste et lanceur d'alerte Ken Pereira, il y a peut-être eu un « petit changement à la FTQ centrale », mais il s'attend à ce que d'autres révélations à la commission Chabonneau montrent que les choses tardent à bouger à la FTQ-Construction.
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Louis-Philippe Ouimet a rencontré les deux hommes.